A mon emménagement, sans eau et électricité, j ‘y ai pris petit déjeuner et diner. C’était ma « cantine » freewifi, et je repartais avec ma chariote chargée de bouteilles d’eau. Dans le but de mieux nous servir (50 couverts), je crains n’avoir jamais vue une telle « speedy gonzales » de ma vie. Depuis une bonne année, la perle rare, son clône, « Speedy Gustavo » l’a rejoint. Je vous adore ! Aujourd’hui, je galope presque autant qu’eux alors mes visites sont plus rares, mais quel plaisir d’y déjeuner encore une fois par semaine d’un bon poisson aux légumes (menu poisson 9€ et menu 8€). Les desserts sont maison, les fromages délicieux…
Faire deux choses à la fois, un minimum chez Julia ! Do two things at a time, a minimum at Julia’s!
When I moved in, without water and electricity, I had breakfast and dinner there. It was my freewifi « canteen », and I left with my cart loaded with bottles of water. In order to serve us better (50 covers), I fear I have never seen such a « Speedy Gonzales » in my life. For a year, the rare pearl, its clone, « Speedy Gustavo » has joined it. I love you ! Today, I gallop almost as much as they do so my visits are more rare, but what a pleasure to have lunch there once a week with a good fish with vegetables (fish menu € 9 and menu € 8). The desserts are homemade, the cheeses delicious …
Isabel, Alberto… Café Limiana
Isabel parlera français avant moi le portugais… merciii
J’ai connu Isabel et Alberto, grâce à mon amie Christina qui avait une charmante boutique à proximité. Je salive que de penser à leur mousse au chocolat beurre salé ! Un petit couloir, une dizaine de table (extérieur compris), de TOP soupes, un plat du jour COPIEUX (4€50), des desserts maison… Comme chez Julia, on me voit moins souvent, mais sans eux ce quartier serait bien différent. Vu mes talents à la langue portugaise (frango, bom dia, doce, mousse au chocolat, bom appetit…), Isabel s’est mise au français. Les portugais aiment parler français, merciiii. Je vous adore !!
I got to know Isabel and Alberto, thanks to my friend Christina who had a charming shop nearby. I salivate that to think of their salted chocolate mousse! A small hallway, a dozen tables (including the outside), TOP soups, a COPIEUX dish of the day (4 € 50), homemade desserts … As with Julia, I am seen less often, but without them this neighborhood would be very different. Given my talents in the Portuguese language (frango, bom dia, doce, chocolate mousse, bom appetit …), Isabel started to speak French. The Portuguese like to speak French, thank you. I love you !!
Au Portugal, si vous voyez une vitrine réfrigérée, extrêmement bien tenue, au centre d’un restaurant plein à craquer, foncez ou revenez vers 13h30 ! Ces cafés, espaces de partage, sont extrêmement importants, nous nous devons de les privilégier afin de les préserver. Ils sont Lisbonne. Retrouvez les dans l’application Adeline A Lisbonne en vous géolocalisant sur la carte « TOP 50 » ou « Boire et Manger ».
In Portugal, if you see a refrigerated display case, extremely well maintained, in the center of a packed restaurant, go for it or come back around 1:30 p.m. These cafes, spaces of sharing, are extremely important, we must privilege them in order to preserve them. They are Lisbon. Find them in the Adeline A Lisbonne application by geolocating yourself on the « TOP 50 » or « Eat and Drink » map.
Armazém das Malhas est une entreprise familiale riche de plus de 50 années d’histoire (Historic shop/Lojas com Historia). Son activité a débuté dans les années 40 à Lisbonne avec la commercialisation et la production de vêtements textile. En 2017, les petits-enfants du fondateur relancent la production, fiers de préserver cette expérience et ainsi continuer de promouvoir et de développer le commerce national. « Nous sommes une marque de commerce équitable, nous essayons de réduire l’empreinte écologique grâce à une production réfléchie, choisissant la meilleure façon possible de confectionner nos produits. Toute la production est réalisée, du début à la fin du processus, sans utilisation de composants susceptibles de nuire à l’environnement ou à l’exploitation par le travail. Vous pouvez compter sur une gamme variée de tissus de coton et de laine, coupés de manière efficace et polyvalente, bien-sûr produites au Portugal ». Un savoir faire traditionnel, un TOP qualité prix, 100% Portugal, qu’il me tenait à cœur de mettre en lumière.
Armazém das Malhas is a family business with more than 50 years of history (Historic shop). Its activity began in the 1940s in Lisbon with the marketing and production of textile clothing. In 2017, the founder’s grandchildren relaunched production, proud to preserve this experience and thus continue to promote and develop national trade. « We are a fair trade brand, we try to reduce the ecological footprint through thoughtful production, choosing the best possible way to make our products. All production is carried out, from the beginning to the end of the process, without the use of components likely to harm the environment or labor exploitation. You can count on a wide range of cotton and wool fabrics, cut in an efficient and versatile manner, of course produced in Portugal « . A traditional know-how, a TOP quality price, 100% Portugal, which I wanted to highlight.
A chaque pays, sa culture, ses particularités… J’ai mis du temps à comprendre que les soins du visage et du corps s’effectuaient traditionnellement chez les coiffeurs au Portugal. A la peine entre les prix français « institut de beauté » de Chiado à la « brute » de Principe Real (qui a fermé depuis), je désespérais ! Un jour, en descendant de Graça vers Anjos, une publicité sur une fenêtre attire mon attention ; les prix doux sur l’ardoise de la porte m’interpellent ; j’entre, on échange en anglais, je teste : douceur des gestes, parfait. Ainsi, mes essais se sont arrêtés ce jour ! L’espace est propre, sans chichi, vivant, Goma Shahi s’occupe des soins du corps et son mari est coiffeur. Si je suis restée fidèle à mon coiffeur conseillé antérieurement, j’ai beaucoup d’admiration pour ses coupes homme à la mode au tarif imbattable de 5€. L’ensemble réalisé sans discontinuité et sans rendez-vous. Je vous adore !! Personnellement, j’annonce ma venue par whatsApp.
Gentillesse, douceur et agilité des gestes
Each country, its culture, its particularities … It took me a while to understand that facial and body treatments were traditionally carried out by hairdressers in Portugal. At the pain between the French prices « beauty institute » of Chiado to the « brute » of Principe Real (which has closed since), I despaired! One day, coming down from Graça to Anjos, an advertisement on a window caught my attention; the soft prices on the slate of the door challenge me; I enter, we exchange in English, I test: gentle gestures, perfect. So my tests stopped today! The space is clean, without frills, alive, Goma Shahi takes care of the body and her husband is a hairdresser. If I remained faithful to my hairdresser previously advised, I have a lot of admiration for his trendy men’s haircuts at the unbeatable price of 5 €. All produced without discontinuity and without appointment. I love you !! Personally, I announce my arrival by whatsApp.
Largo do Intendente
La place Intendente est à mes yeux une des plus belles places de Lisbonne. Piétonne, calme, avec ses quelques terrasses entourées de jolis immeubles, elle est à l’image de Lisbonne, majestueuse sans ostentation. Chaque second dimanche du mois, il y a lieu un marché artisanal sur lequel je trouve toujours des stands intéressants, le dernier en date, les chemises Laconga. Depuis 2018, les alentours se sont bien développés.
Intendente square is in my eyes one of the most beautiful squares in Lisbon. Pedestrian, calm, with its few terraces surrounded by pretty buildings, it is like Lisbon, majestic without ostentation. Every second Sunday of the month, there is a craft market on which I always find interesting stands, the latest, Laconga shirts. Since 2018, the surroundings have developed well.
Rua Damasceno Monteiro, ça bouge ! A flan de colline, en direction de Graça, je vous invite à vous géolocaliser via l’application gratuite « Adeline A Lisbonne » >> « TOP50 » toutes ces nouvelles entreprises vous sont présentées.
On the hillside, towards Graça, I invite you to geolocate yourself via the free application « Adeline A Lisbonne » >> « TOP50 » all these new companies are presented to you.
A tord ou à raison Trop souvent ignoré, on devrait plus souvent parler de ce quartier, car il y fait très bon vivre et s’y promener. Je rêve d’une logistique « Esprit de Portugal », fil conducteur entre les 7 collines de Lisbonne, invitation à découvrir facilement toutes ces références fières de partager les valeurs portugaises (l’Attention, le qualité prix, le soutien aux petits producteurs, la préservation de la planète…), la mission de l’application Adeline A Lisbonne. A suivre !
Right or wrongToo often overlooked, we should more often talk about this neighborhood, because it is very good to live and walk there. I dream of logistics « Spirit of Portugal », the common thread between the 7 hills of Lisbon, an invitation to easily discover all these proud references to share the Portuguese values (Attention, value for money, support for small producers, preservation of the planet …), the mission of the Adeline application in Lisbon. To be continued !
Singular subject, certainly the most important that I will write on the future of authentic Lisbon, the one we cherish: – Crafts, Portuguese economic and social link? – Promotional tool for Portugal? To observe the profusion of so-called artisanal Lisbon markets, undoubtedly. On closer inspection, a real craft policy should urgently be born in Lisbon, in Porto *, in Portugal, in order to avoid the confusion of genres, between the best and the worst, from real TOP to TOC resale!
Parcourant ces nombreux marchés artisanaux, « Adeline A Lisbonne » faisant la promotion des plus sélectifs par soutien « Gagnant Gagnant » à Lisbonne, au Portugal, et bien-sûr aux nombreux portugais qui ont choisi cette forme d’expression, focus sur la situation.
En 2019
Depuis 1982, l’association Artesaos de Lisboa fédère et promeut cet artisanat. 500 membres y adhèrent aujourd’hui. Admirablement, la mairie tient à disposition des lieux, en jour et en heure, à un tarif préférenciel, consciente du faible retour sur investissement à ce type d’économie (7€). Le gouvernement honore de sa reconnaissance grâce au document CEARTE. CEARTE qui a remplacé le PPART ces dernières années, preuve de la préoccupation de l’Etat portugais envers ces centaines de personnes qui ne comptent pas leur temps pour essayer de vivre de leurs travaux manuels. Cependant, le tsunami touristique a engendré un désordre, une vague qui a développé le TOC. Des personnes ont aussi répondu à la demande en créant une offre de marchés supplémentaires. Marchés qui placent à rude épreuve le véritable artisanat, et par effet de cascade, Lisbonne, le Portugal, les visiteurs…
Browsing through these many craft markets, « Adeline A Lisbonne » promoting the most selective by « winning, winning » support in Lisbon, Portugal, and of course to the many Portuguese who have chosen this form of expression, focus on the situation. In 2019 Since 1982, the the association Artesaos de Lisboa federates and promoted this craft. 500 members join today. Admirably, the town hall keeps the premises available, day and hour, at a preferential rate, aware of the low return on investment for this type of economy (€ 7). The government is grateful for its recognition thanks to the CEARTE document. CEARTE which replaced the PPART in recent years, proof of the concern of the Portuguese State towards these hundreds of people who do not count their time to try to make a living from their manual work.However, the tourist tsunami created a mess, a wave that developed TOC. People have also responded to the demand by creating an offer of additional markets. Markets that put real craftsmanship to the test, and by cascade effect, Lisbon, Portugal, visitors …
Superbes écharpes en lin, coton, laine, soie, Torcer ideas Top kit Eberta en rupture de stock, dommage.
Maillon(s) faible(s)
Le CEARTE est un document extrêmement chiadé où certains auront obligation à y adhérer, car leur niveau de qualification et d’engagement vis à vis du Portugal est le début de la reconnaissance souhaitée. Cependant, aujourd’hui, le CEARTE apporte une seule qualification honorifique. Il est donc un bon début, mais l’Etat portugais ne devrait-il pas aussi créer une alternative au CEARTE, un document plus simple, moins honorifique, mais en rapport avec la seule création effectuée au Portugal ? En parallèle, le Camara Municipal de Lisboa ne devrait-il pas développer une logistique de différenciation afin de préserver son image, celle de sa ville, celle de son pays ? Différenciation attribuée à l’artisan qui crée par manque de temps jusqu’à sur le marché, proposant des prix toujours trop chers malgré une marge toujours plus faible, son lot quotidien !
7€ et 35€ pour la même offre ! Il faut presque avoir fait Normal Sup pour faire le tour du sujet ! 7€ est le prix d’une journée de marché facturé par la mairie. 35€ par d’autres, je parle ici d’organisateurs qui utilisent le terrain public pour organiser un marché public, des personnes qui semblent s’être substituées à l’action de la mairie. Pour les raisons explicitées ci-dessus, c’est sûr que le manque de marché a donné l’initiative à certains de combler un manque. Mais aujourd’hui, la marie de Lisbonne ne devrait-elle pas reprendre les rênes, se faire aider par l’association qui s’engage plus que jamais à défendre bénévolement déjà 500 adhérents ? Lisbonne, le Portugal, doivent-ils diviser pour mieux régner ou organiser pour fédérer ? 7€ ou 35€ la journée, c’est une énorme différence sur la marge que dégage un véritable artisanat au Portugal. 27€ x 30 artisans = 810€/semaine/mois de bénéfices sur le dos de personnes qui « se démènent comme un diable dans l’eau bénite », me semblent terriblement injuste.
Weak link (s) CEARTE is an extremely clever document in which some will have an obligation to adhere to it, because their level of qualification and commitment towards Portugal is the beginning of the desired recognition. However, today, CEARTE brings only one honorary qualification. So it’s a good start, but shouldn’t the Portuguese State also create an alternative to CEARTE, a simpler document, less honorary, but related to the only creation made in Portugal? At the same time, shouldn’t the Camara Municipal de Lisboa develop a logistics of differentiation in order to preserve its image, that of its city, that of its country?Differentiation attributed to the craftsman who creates for lack of time until on the market, offering prices always too expensive despite an ever lower margin, his daily lot! € 7 and € 35 for the same offer! You almost have to do Normal Sup to go around the subject! € 7 is the price of a market day billed by the town hall. 35 € by others, I mean here organizers who use public land to organize a public market, people who seem to have replaced the action of the town hall. For the reasons explained above, it is certain that the lack of market has given the initiative to some to fill a gap. But today, shouldn’t the Camara take over the reins, get help from the association which is more than ever committed to voluntarily defending 500 members already? Lisbon, Portugal, should they divide to better reign or organize to federate? € 7 or € 35 a day is a huge difference in the margin that real craftsmanship generates in Portugal. 27 € x 30 craftsmen = 810 € / week / month of profits on the back of people who« are struggling like hell in holy water », seem to me terribly unfair.
Ajustement de la politique du Camara Municipal de Lisboa face à la crise 2010 et à l’engouement lisboète ?
En 2019, 70% des artisans sur les marchés lisboètes étaient des personnes sans emploi à la suite de la crise de 2010 ; 30% étaient des changements de vie où la liberté d’action devient le moteur créatif d’un souhait à un apaisement psychique. En ce sens, défendre ces personnes dynamiques en y associant une logistique « Gagnant, Gagnant » serait un PLUS pour tous : Lisbonne, le Portugal et ses bénéficiaires ; sachant qu’une association est prête à s’impliquer comme à son habitude.
Adjustment of the Camara Municipal de Lisboa’s policy in the face of the 2010 crisis and the Lisbon craze? In 2019, 70% of artisans on the Lisbon markets were unemployed people following the 2010 crisis; 30% were life changes where freedom of action becomes the creative engine of a wish for psychic appeasement.In this sense, defending these dynamic people by associating « Winning, Winning » logistics would be a PLUS for everyone: Lisbon, Portugal and its beneficiaries; knowing that an association is ready to get involved as usual.
Communication, marchés artisanaux, fabrication au Portugal
Le TOC shop, le marché du faux artisanal, c’est la gangrène d’une ville qui souhaite élever son image, son économie de marché. Si tout le monde a le droit d’occuper le terrain et à mener la vie qu’il entend, la politique de la ville définit son avenir. En cela, je suis sûre que les Portugais comme la ville de Lisbonne et l’État portugais, souhaitent la capitale, portugaise, culturelle et cosmopolite. En plus, un TOP artisan, AVEC un site Internet de vente en ligne, pourrait finir par souhaiter ouvrir une boutique, et face à l’armada de grandes enseignes internationales, c’est une nouvelle fois « Gagnant, Gagnant » pour tous. Aujourd’hui, l’inverse se produit (comme partout dans le monde). C’est triste, mais sans ajustement de la politique de la ville, je me demande comment l’histoire pourrait être autre à Lisbonne ? Sans ajustement, le TOC a gain de cause.
Communication, craft markets, manufacturing in Portugal: The TOC shop, the fake craft market, is the gangrene of a city that wishes to raise its image, its market economy. If everyone has the right to occupy the land and lead the life they want, city policy defines their future. In this, I am sure that the Portuguese, like the city of Lisbon and the Portuguese state, want the capital, Portuguese, cultural and cosmopolitan. In addition, a craftsman TOP, WITH an online sales website, may end up wanting to open a shop, and facing the armada of major international brands, it is once again « Winner, Winner » for all. Today the opposite is happening (like everywhere in the world). It’s sad, but without adjusting city policy, I wonder how history could be different in Lisbon? Without adjustment, the TOC prevails.
Par cette évolution, le Camara Municipal de Lisboa ne ferait qu’adopter le « success model » LVMH, Hermés, « une intelligence organisée autour d’un écosystème de métiers artisanaux diversifiés ». Lisbonne, le Portugal serait aussi une exemple >>> 37’15’’ Croissance, les raisons d’y croire : Excellente émission qui place en perspective l’économie de la France, de l’Europe et des grands de ce monde, la Chine et les USA.
By this development, the Camara Municipal de Lisboa would only adopt the LVMH success model, Hermés, « an intelligence organized around an ecosystem of diversified craft trades ». Lisbon, Portugal would also be an example >>> 37’15 ’’ Croissance, les raisons d’y croire : Excellent program that puts the economy of France, Europe and the world’s leaders, China and the USA in perspective.
Adeline A Lisbonne s’ajuste
J’avais nommé une catégorie de l’application « CréationS », je l’ai modifiée pour « Made in Portugal« , effectivement ! La catégorie « ArtisanatS » est devenue « Artisanat, Ethique » en français ; « Crafts, Ethics » in english ; « Artesanato, Etica » em português. Adeline A Lisbonne a des idées…
Adeline A Lisbonnne adjusts I had named a category “CréationS” in the application, I changed it to « Made in Portugal », indeed ! The category « ArtisanatS » has become « Artisanat, Ethique » in french; « Crafts, Ethics » in english; « Artesanato, Etica » em português. Adeline A Lisbonne has ideas …
* Porto
Dernièrement au Cap-Vert, j’ai échangé avec Patricia, portugaise habitant Porto, remontée contre l’Etat portugais qui ne tient pas compte des ajustements de pays européens, qui agissent pour le bien-être de leur population et de la planète : – Limiter le nombre de bateaux de croisière (skieurs…) ; – Généraliser la limite des logements locaux (airbnb, booking…) ; – Préserver la culture portugaise Les deux premiers points, des artifices de croissance qui finissent par appauvrir un pays. Pour le troisème, Patricia argumente : « La restauration, où la cuisine portugaise signifiait abondance, partage sans limite de temps, à un prix à l’origine de cette convivialité, assez différente de la « nouvelle cuisine ! ».
Malheureusement, je n’ai pu qu’approuver l’argumentation de Patricia même si j’ai rappelé l’action bénéfique de la loi sur la préservation des « Lojas com Historia| Historic Shops ». En effet, c’est trop peu face au rouleau compresseur du tourisme de masse. En France, les restaurants sont devenus hors de prix pour souvent, depuis quelques années, « offrir » un qualité prix contestable, qui finit par nous faire recevoir chez soi ! Il fut un temps où les français allaient aussi prendre leur café à l’extérieur, les cafés ont disparu, disparaissent… En 2017, certains commerçants me disait que le Portugal avait 30 ans de retard. Nous sommes beaucoup de grands voyageurs à croire l’inverse, que ce que le Portugal croit être du retard est devenu être une avance. Mais plus pour longtemps, car le rouleau compresseur s’emballe !
Par contre, si l’offre est limitée, les prix augmentent et les visiteurs sont autres. L’offre doit toujours être inférieure à la demande. L’inverse, Lisbonne le sait déjà, depuis 2018 (au moins), les chiffres d’affaires baissent malgré un tourisme en nombre bien supérieur. Avoir des centaines d’hôtels, un second aéroport lorsque Lisbonne ne sera plus Lisbonne, lorsque Porto ne sera plus Porto, comme dit Patricia, j’ai bien peur que « d’autres pays le produisent toujours pour moins cher que le Portugal« … Les villes, l’Etat portugais, doivent choisir rapidement.
Bien-sûr, le tourisme se développera toujours (nouveau record en 2019), les médias ne tarissent que d’éloges (dernier en date), et ils ont raison, mais quel monde est souhaité dans la capitale portugaise ?? Porto, Lisbonne, ont-ils intérêt à promouvoir auprès de leurs visiteurs, ce que représente le Portugal ou ce qui pullule dans le monde entier ??
* Porto: Recently in Cape Verde, I exchanged with Patricia, Portuguese living in Porto, rising against the Portuguese State which does not take into account the adjustments of European countries, which act for the well-being of their population and the planet: – Limit the number of cruise ships (skiers); – Generalize the limit of local accommodation (airbnb, booking …); – Preserve the Portuguese culture The first two points, artifices of growth which end up impoverishing a country. For the third, Patricia argues: « Catering, where Portuguese cuisine meant abundance, sharing without time limit, at a price at the origin of this conviviality, quite different from » new cuisine! « . Unfortunately, I could only approve Patricia’s argument even if I recalled the beneficial action of the law on the preservation of « Lojas com Historia | Historic Shops ”. Indeed, this is too little compared to the steamroller of mass tourism. In 2017, some traders told me that Portugal was 30 years behind. We are a lot of frequent travelers to believe the opposite, that what Portugal believes to be late has become an advance. But not for long, because the steamroller is racing! On the other hand, if the offer is limited, prices increase and visitors are different. Supply must always be lower than demand. Conversely, Lisbon already knows that, since 2018 (at least), turnover has been falling despite much higher tourism. Having hundreds of hotels, a second airport when Lisbon is no longer Lisbon, when Porto is no longer Porto, as Patricia says, I’m afraid « other countries are still producing it for less than Portugal ». The cities, the Portuguese state, must choose quickly. Of course, tourism will always develop, the media are full of praise (latest), and they are right, but what world is desired in the Portuguese capital ?? Lisbon, Porto… do they have an interest in promoting to theirs visitors, what represents Portugal or what swarms around the world?
Catarina, José, deux générations, philosophie, art, la tranversalité dans le sang !
Portraits croisés / Cross portraits
Depuis sa naissance, CatarinaPombo Nabais est bercée entre philosophie et vie artistique. Ses études seront philosophiques. Après un doctorat sur Gilles Deleuze auprès de Jacques Rancière à Paris, elle devient chercheuse au Centro de Filosofia des Ciências(CFCUL) à l’Université de Lisboa. Personnalité dynamique, elle y fonde le Science-Art-PhilosophieLabotary (SAP LAB / CFCUL) ayant pour mission non seulement d’assumer la Philosophie comme activité créative, mais aussi de mettre en place, lancer la rencontre entre la Philosophie, la Science et l’Art. Entre plusieurs activités que Catarina organise au SAP Lab (séminaires, conférences, workshops, interviews, éditions/publications, etc.), une lui tient particulièrement à cœur, celle d’accueillir, en résidence des artistes interdisciplinaires qui travaillent entre la science et l’art. La faculté restant bien-sûr un lieu d’étude et de recherche, elle devient aussi un espace de communication et d’exposition. En tant que curatrice, Catarina a été responsable de plusieurs expositions dont celle sur les tatouages au Musée du Design et de la Mode (MUDE), considérée une des 5 meilleures expositions de 2017 par « Time Out », ainsi que celle sur le travail de l’artiste Bela Silva au Musée de l’Orient. Par sa forme créative et enjouée au travail, Catarina se présente toujours comme étant « le singe de l’académie » en référence explicite du conte de Kafka ! En plus de multiplier les rencontres, diversifier les connexions culturelles, Catarina devient, autre que chercheuse et curatrice, aussi entrepreneuse pour associer son expérience universitaire à la vie artistique lisboète : Oficina Impossivel voit le jour en avril 2019 ; le nom en dit long !
Since her birth, Catarina Pombo Nabais is rocked between philosophy and artistic life. His studies will be philosophical. After a doctorate on Gilles Deleuze from Jacques Rancière in Paris, she became a researcher at the Centro de Filosofia des Ciências (CFCUL) at the University of Lisboa. Dynamic personality, she founded Science-Art-Philosophy Labotary (SAP LAB / CFCUL) with the mission not only to assume Philosophy as a creative activity, but also to set up, launch the meeting between Philosophy, Science and art. Among several activities that Catarina organizes at the SAP Lab (seminars, conferences, workshops, interviews, editions / publications, etc.), one is particularly close to her heart, that of hosting, in residence interdisciplinary artists, who work between science and art. The faculty of course remaining a place of study and research, it also becomes a space of communication and exhibition.As curator, Catarina has been responsible for several exhibitions including that on tattoos at the Museum of Design and Fashion (MUDE), considered one of the 5 best exhibitions of 2017 by « Time Out », as well as that on the work of artist Bela Silva at the Museum of the Orient. By her creative form and playful to work, Catarina always presents herself as being « the monkey of the academy » in explicit reference of the tale of Kafka! In addition to multiplying the meetings, diversifying the cultural connections, Catarina becomes, other than researcher and curator, also entrepreneur to thus associate her university experience with the artistic life of Lisbon: Oficina Impossivel is born in April 2019; the name says it all!
JoséSousa Machado, remontons le temps, la dictature, le positionnement familial à droite et la pensée universitaire à gauche, il consacre ses études à l’économie afin d’approfondir la pensée de Marx, les moyens de production à l’origine des marchés. En 3ème année, il s’oriente vers un cursus « lettres » et devient ainsi journaliste. Sa raison d’être, « la paix, la beauté et la connaissance », sans compromission possible, origine des déplacements intercontinentaux. En effet, si une économie de marché se rétracte à ne plus pouvoir équilibrer ses affaires, il faut s’organiser autrement. Ainsi, la vie de José est une suite de rebondissements entre maisons d’éditions au Brésil (Rio et Sao Paulo), éditeur à Lisbonne, un passage en Angola (2008) puis son retour à Lisbonne pour le compte de la Cha de Caxinde.
Artes & Leiloes d’après Art & Auctions (1988), Arte Iberica et Agenda Cultural Lisboa (1995)… Je vous passe toutes les éditions de magazines Auto, Montres et autres, que José a produit pour soutenir la revue d’art (avant Internet) ! I pass you all the editions of magazines Auto, Watches and others, that José produced to support the magazine d art (before the Internet)!
En 2012, José découvre le vaste espace rue Garett, dépouillé de culture et criblé de dettes. C’est l’heure de la séparation avec l’association culturelle angolaise, l’ouverture de la Livraria Sa da Costa, et la reprise des bureaux au 4ème étage, Praça Luis Camoes 22 (700m2). José est humble, discret, mais aussi un forcené du développement et de la promotion du marché culturel au Portugal. La culture en proue du bateau portugais ? Pas encore, 1% du budget portugais était seulement débattu au parlement fin 2019.
JoséSousa Machado, let’s go back in time, dictatorship, family positioning on the right and university thinking on the left, he devotes his studies to the economy in order to deepen the thinking of Marx, the means of production at the origin of the markets. In the 3rd year, he turned to a « letters » course and thus became a journalist. Its raison d’être, « peace, beauty and knowledge », without possible compromise, origin of intercontinental displacements. Indeed, if a market economy shrinks from not being able to balance its affairs, it has to be organized differently. Thus, José’s life is a series of twists and turns between publishers in Brazil (Rio and Sao Paulo), publisher in Lisbon, his passage in Angola (2008) then his return to Lisbon on behalf of the Cha de Caxinde. In 2012, José discovered the large space on rue Garett, stripped of culture and riddled with debts. It is time for separation from the Angolan cultural association, the opening of the Livraria Sa da Costa, and the resumption of offices on the 4th floor, Praça Luis Camoes 22 (700m2). José is humble, discreet, but also a fan of the development and promotion of the cultural market in Portugal. Culture at the forefront of the Portuguese boat? Not yet, 1% of the Portuguese budget was debated in parliament at the end of 2019.
La discrétion, le bien des Portugais, probablement le mal du Portugal. Dans une Europe en errance, ne serait-il pas venue l’heure des « petits » pays d’exprimer leur bon sens ? Le bon sens des petits qui relèvent les défis ! En tout cas, c’est la raison d’être de la chronique Entre Nous, et d’autant plus que nous sommes nombreux à penser que la culture est un levier économique exceptionnel. LE véritable allié économique au tourisme lorsque ce dernier est souhaité plus sélectif. Parfait aussi, lorsque la scène artistique lisboète mue un peu plus chaque jour, entre création et expérience portugaise, jeunesse internationale, galeries d’art, projets des résidences artistiques diversifiés et mécénats culturels.
Discretion, the good of the Portuguese, probably the bad of Portugal. In a wandering Europe, would it not have been time for the « small » countries to express their common sense? The common sense of the little ones who take up the challenges! In any case, this is the purpose of the Entre Nous column, and all the more so since many of us believe that culture is an exceptional economic lever. THE real economic ally for tourism when the latter is desired more selective. Perfect also, when the Lisbon artistic scene changes a little more each day, between creation and Portuguese experience, international youth, art galleries, projects of diversified artistic residences and cultural sponsorship.
Résidence d’artistes, Open SAP LAB Au SAP Lab, Catarina Pombo Nabais a déjà organisé plusieurs résidences, toujours de philosophes. Récemment, elle a reçu la proposition d’une artiste allemande Katrin von Lehmann, qui souhaitait apprendre la philosophie de Gilles Deleuze, ainsi qu’avoir la possibilité de connaître et de travailler avec quelques scientifiques portugais. De septembre à novembre, Catarina a organisé ces rencontres autour de questions hybrides entre les relations de l’art et de la science. L’artiste a mis en place une recherche sur la méthode scientifique et a présenté les résultats de sa résidence dans une exposition à la GaleriaCiências de la Faculté de l’Université de Lisbonne, aussi organisée par Catarina.
Artist residency, Open SAP LAB : At the SAP Lab, Catarina Pombo Nabais has already organized several residences, still a philosopher. Recently, she received the proposal from a German artist Katrin von Lehmann, who wanted to learn the philosophy of Gilles Deleuze, as well as having the opportunity to know and work with some Portuguese scientists. From September to November, Catarina organized these meetings around hybrid questions between the relationships of art and science. The artist has carried out research on the scientific method and presented the results of his residency in an exhibition at the Galeria Ciências of the Faculty of the University of Lisbon, also organized by Catarina.
Art, artisanat, Oficina Impossivel Campo de Ourique & Santos Depuis 2008, pendant 10 ans hébergée à la Fabrica Braço da Prata, Oficina Impossivel s’est partagé entre deux espaces différents, à Santos-o-Velho et à Campo de Ourique. – Oficina Impossivel Campo de Ourique, dirigée par la soeur de Catarina, Patricia Pombo Medeiros, biochimiste de formation en conservation et en restauration, spécialisée en peinture, céramique et dessin, est un atelier de Restauration et Conservation (que j’aurai plaisir à découvrir prochainement). – Oficina Impossivel Santos-o-Velho, dirigée par Catarina, « galerie vivante entre créations d’artistes et d’artisans ». Il s’agit d’un concept élargi de la galerie d’art, une galerie habitée par des artistes et des artisans qui travaillent dans l’espace de la galerie et qui, ainsi, peuvent interagir directement avec le public. Oficina Impossivel est plus qu’une galerie, c’est aussi un projet qui donne corps à un collectif d’artistes et d’artisans, soit résidents dans ses ateliers et espaces de coworking, soit des collaborateurs externes. Le double caractère des Oficina Impossivel « Atelier » à Campo de Ourique et « Galerie » à Santos-o-Velho, issu d’un duo très complémentaire des deux sœurs, donne alors corps à ce projet commun, inédit et complexe : rejoindre la Philosophie et l’Art, créant ainsi des espaces où un monde de choses et d’idées est constamment conservé et réinventé ! Oficina Impossivel est l’endroit où tout peut avoir lieu, soit des conversations avec des artistes, soit des workshops de conservation et restauration, soit des conférences/masterclass en Philosophie, soit des expositions, bref où l’impossible peut vraiment arriver. Dans un premier temps, Catarina loue le rez-de-chaussée d’un immeuble, dans le but de fonder un espace chaleureux associant livres, objets vintage et objets d’art, complétude qui raconte une histoire. L’idée est toujours celle de construire un espace de galerie informelle, non élitiste, où les œuvres d’art sont savamment, artistiquement, mélangés entre pièces vintage et livres. Entre-temps, les 120 m2 au 1er étage sont dédiés à la résidence artistique dans le but de créer une « chaude » connexion entre les ateliers d’artistes et l’espace galerie. Comme dit Catarina : « j’ai l’impression de recevoir des oeuvres d’art encore chaudes, fraichement descendues des ateliers » ! Gagnez 10 % sur toutes les créations de l’Oficina en présentant l’application Adeline A Lisbonne.
Art, crafts, artists, Oficina Impossivel Campo de Ourique & Santos: Since 2008, for 10 years hosted at Fabrica Braço da Prata, Oficina Impossivel has been shared between two different spaces, in Santos-o-Velho and Campo de Ourique. – Oficina Impossivel Campo de Ourique, led by Catarina’s sister, Patricia Pombo Medeiros, biochemist by training in conservation and restoration, specializing in painting, ceramics and drawing, is a Restoration and Conservation workshop (which I will be pleased to discover soon ). – Oficina Impossivel Santos-o-Velho, directed by Catarina, « living gallery between creations of artists and craftsmen ». It is an expanded concept of the art gallery, a gallery inhabited by artists and artisans who work in the gallery space and who, thus, can interact directly with the public. Oficina Impossivel is more than a gallery, it is also a project that gives shape to a collective of artists and craftsmen, either residents in its workshops and coworking spaces, or external collaborators. The double character of the Oficina Impossivel « Atelier » in Campo de Ourique and « Galerie » in Santos-o-Velho, resulting from a duo very complementary of the two sisters, gives substance to this common, original and complex project: to join Philosophy and Art, thus creating spaces where a world of things and ideas is constantly preserved and reinvented! Oficina Impossivel is the place where everything can take place, either conversations with artists, conservation and restoration workshops, conferences / masterclasses in Philosophy, or exhibitions, in short where the impossible can really happen. At first, Catarina rents the ground floor of a building, with the aim of founding a warm space combining books, vintage objects and works of art, a completeness that tells a story. The idea is still to build an informal, non-elitist gallery space, where works of art are skillfully, artistically, mixed between vintage pieces and books. Meanwhile, the 120 m2 on the 1st floor are dedicated to the artistic residence in order to create a « warm » connection between the artists’ studios and the gallery space. As Catarina says: « I have the impression of receiving works of art that are still warm, fresh from the workshops ». Earn 10% on all creations of the oficina by presenting the Adeline A Lisbonne application.
Vendredi 24 janvier à 18h, Oficina Impossivel – Galerie à Santos, ouvre ses portes pour sa première exposition dont le commissaire sera Catarina Pombo Nabais. Intitulée « 12+1 : la première fois ». L’exposition comptera 13 artistes et artisans résidents et collaborateurs d’Oficina Impossivel. Le vernissage marquera ainsi la nouvelle étape de ce projet, maintenant exclusivement dédié aux artistes et aux artisans. Nous sommes tous invités, TOP !
Friday 24 January at 6 p.m., Oficina Impossivel – Galerie in Santos, opens its doors for its first exhibition, curated by Catarina Pombo Nabais. Entitled « 12 + 1: the first time ». The exhibition will include 13 resident artists and artisans and collaborators of Oficina Impossivel. The opening will mark the new stage of this project, now exclusively dedicated to artists and artisans. We are all invited, TOP!
Livres anciens, espaces d’exposition et d’événements, pépinière cuturelle et résidence d’artistes, Livraria Sa da Costa 900m2 dédiés à l’art dans sa plus large expression, à sa promotion, afin de participer au développement de l’économie culturelle du Portugal : – 200m2 rua Garett qui invitent à découvrir un négoce de livres anciens au rez-de-chaussée, en partenariat avec le spécialiste, Pedro Castro e Silva. A l’étage, deux espaces intempestifs dédiés aux expositions artistiques et autres événements culturels, philosophique, théâtral… – 700m2 praça Luis Camoes (4ème étage) qui accueillent une pépinière interdisciplinaire d’artistes, sélectionnés, dont la qualité créative parle ou interpelle José. De studios de peintre à l’atelier de joaillerie de Térésa Milheiro via la succursale de la plus grande galerie d’art d’Amérique latine, Fortes D’Aloia & Gabriel ; l’art digital et Ocupart ; le magazine UMBIGO que José a tenu à héberger en l’aidant par son expérience à recentrer son éditorial… Les bureaux et des espaces événementiels !
Old books, exhibition and event spaces, cultural nursery and artists’ residence, Livraria Sa da Costa, 900m2 dedicated to art in its widest expression, to its promotion, in order to participate in the development of the cultural economy of Portugal: – 200m2 rua Garett who invite to discover a trade in old books on the ground floor, in partnership with specialist, Pedro Castro e Silva. Upstairs, two untimely spaces dedicated to artistic exhibitions and other cultural, philosophical, theatrical events … – 700m2 praça Luis Camoes (4th floor) which welcome an interdisciplinary nursery of selected artists, whose creative quality speaks or challenges José. From painter studios to the jewelry workshop of Térésa Milheiro via the largest art gallery in Latin America,Fortes D’Aloia & Gabriel; digital art and Ocupart ; UMBIGO magzine that José wanted to host by helping him with his experience to refocus his editorial … Offices and event spaces!
Catarina, José, deux personnes pour qui priment la qualité, « la paix, la beauté et la connaissance », la philosophie, la culture, l’art, la tranversalité dans le sang. La culture, un biais de développement d’une économie de marché pour le Portugal ? OUIIII !
Catarina, José, two people who take precedence over quality, « peace, beauty and knowledge », philosophy, culture, art… Culture, a bias in the development of a market economy for Portugal? YES!
Déjà onze « Entre Nous »en 2019 : huit en ligne (liens à droite), deux à venir (voir ci-dessous), et le dernier qui fut un TOP brainstorming à Baixa : « Que faire pour démarquer les entreprises lisboètes qui ont du sens, pour les visiteurs, pour la ville, pour la région, pour le Portugal, pour les portugais, pour les expatriés, pour tous, face aux quartiers qui perdent leur identité ? ».
Já onze « Entre Nous » em 2019: oito online (links à direita), duas por vir (veja abaixo) e a última que foi um brainstorming TOP na Baixa: « O que fazer para distinguir as empresas de Lisboa que possuem significado para visitantes, para a cidade, para a região, para Portugal, para os portugueses, para expatriados, para todos, enfrentando os bairros que estão perdendo sua identidade? « .
Différemment argumenté, c’est le message de fond entendu depuis 3 ans à Lisbonne, redondant à mes premiers pas dans la communication en France (1987)*. La France qui depuis a fleuri ses villes sur le modèle de certains villages, ce qui n’a pas apaisé les esprits ! Apaisement qui me semble reposerait sur une réponse d’ordre socio-économique. La France, c’est grave, désespérant, consternant…
Diferentemente, esta é a mensagem básica ouvida por 3 anos em Lisboa, redundante aos meus primeiros passos na comunicação na França (1987) *. A França, que desde então floresceu suas cidades no modelo de certas aldeias, que não apaziguou os espíritos! Apaziguamento que me parece basear-se em uma resposta socioeconômica. A França é séria, desesperada, desanimadora …
Heureusement, la culture portugaise est autre. Le 100% Portugal et la création au Portugal sont encore représentés en force dans la capitale, quoique de manière éparse entre ses 7 collines fantastiques, mais qui étirent les distances et complexifient d’autant plus le développement d’une véritable économie de marché. Heureusement, la mentalité occidentale change, le luxe de l’authentique et de l’expérience reviennent en pole position, le « Top pour la planète » explose… Lorsque l’artisanat a toujours enthousiasmé les foules, mais n’a que trop peu trouvé le soutien des villes. Alors, il s’élimine par sa mauvaise compétitivité malgré un pacte social extraordinaire !
Felizmente, a cultura portuguesa é diferente. Portugal 100% e criação em Portugal ainda estão fortemente representados na capital, ainda que com moderação entre as suas 7 colinas fantásticas, mas que alongam distâncias e tornam ainda mais complexo o desenvolvimento de uma economia de mercado real. Felizmente, a mentalidade ocidental muda, o luxo da autenticidade e da experiência retorna à pole position, o « Top for the planet » explode … Quando o artesanato sempre excitou as multidões, mas tem muito pouco apoio das cidades. Portanto, é eliminado por sua baixa competitividade, apesar de um pacto social extraordinário!
Dans le monde d’aujourd’hui, des lignes qui se croisent dans un objectif de lier social et économie sont extrêmement rares. Lisbonne, saura t-elle saisir cette fantastique opportunité ?? Stratégie qui mènerait la Camara Municipal de Lisboa à rebondir et à pouvoir communiquer sur cette singularité mondiale…
No mundo de hoje, linhas que se cruzam com o objetivo de vincular economia e social são extremamente raras. Lisboa, ela será capaz de aproveitar esta oportunidade fantástica ?? Estratégia que levaria a Câmara Municipal de Lisboa a recuperar e ser capaz de comunicar sobre a singularidade deste mundo …
Mon VOEU 2020 serait de participer à réaliser ce marketing direct sur ce Top du Portugal, car c’est la continuité logique de l’approche bénévole Adeline A Lisbonne. En fait, il manque juste une logistique terrain, utile, sécuritaire, élégante, discrète, bon marché, gagnant gagnant, idée simple bien-sûr.
O meu WISH 2020 seria participar neste marketing direto neste Top de Portugal,porque é a continuidade lógica da abordagem voluntária da Adeline In Lisbon. De fato, há apenas uma falta de logística de campo, útil, segura, elegante, discreta, barata, vencedora-vencedora, idéia simples, é claro.
Belle Année 2020 – Feliz Ano Novo 2020
Prochains ENTRE NOUS : > 15.01.20 : Culture, interdisciplinarité, économie de marché > 31.01.20 : Artisanat, maillon économique et social portugais ? Outil de promotion du Portugal ?
PRÓXIMO ENTRE NÓS > 15.01.20: Cultura, interdisciplinaridade, economia de mercado > 31.01.20: Artesanato, vínculo econômico e social português? Ferramenta promocional para Portugal?
*Après une brève carrière sportive en équitation, concours hippique, j’ai fait plusieurs métiers où la communication fut mon lot quotidien. Cela a commencé en 1987 dans la presse gratuite (avec progressivement introduction de thématiques rédactionnelles) dans le département de la Seine et Marne (77). Expérience extraordinaire où j’ai eu la chance d’apprendre que la réussite d’une idée reposait sur l’intérêt général et son coût bon marché (afin de relever une entreprise déficitaire). 1995, Sportwagen, la presse automobile Porsche et ses concurrentes. 2002, retour dans le monde du cheval… 2017, découverte de Lisbonne, LA rencontre…
* Após uma breve carreira esportiva em passeios a cavalo, show de cavalo, fiz vários negócios onde a comunicação era o meu lote diário. Começou em 1987 na imprensa livre (com a introdução gradual de temas editoriais) no departamento de Seine et Marne (77). Experiência extraordinária em que tive a chance de aprender que o sucesso de uma idéia se baseia no interesse geral e em seu custo barato (a fim de criar um negócio deficitário). 1995, Sportwagen, a imprensa automotiva Porsche e seus concorrentes. 2002, retorno ao mundo dos cavalos … 2017, descoberta de Lisboa, o encontro …
The Triangle 4S | Santos, Sao Bento, Santa Catarina, Know-howThe Triangle 4S remains to my eyes, the most authentic, the most refined Lisbon district, luxury * Lisbon. Lasting blow of heart since January 7, 2017. SME district rich of a know-how of Passionate; traditional know-how that invites us to live everyday experiences, OTHERWISE, with respect for quality handmade price. * Jean-Michel Frank has this extraordinary expression: ‘the strange luxury of nothing‘. We are in the 1930s, we can not better define this moment when luxury flip over an overflow, saturation. It was proof that another way was possible. This set touches me enormously. We talk a lot about the work of the hand, but it is just as difficult to work simplicity « , Olivier Gabet analysis … In the middle of a room almost empty, a glass hourglass signed Marc Newson is posed alone in front of a window overlooking the sea. Experience, time, space … this is the new luxury at the beginning of the 21st century.In the order of their installation, and the gentrification of the neighborhood: – Ana & Dulce | Palavra of Viajante | Sao Bento 34 – Sebastian | Companhia Portugueza do Cha | Poço dos Negros 105 – Isabel | Isabel Lara Design em Pano | Poço dos Negros 181 – Miguel & Paula | Tudo e Todos – Pedro | Carrasco Art Gallery | Beco do Carrasco 12
Quartier où l’application « Adeline A Lisbonne » présente la plus forte densité de Coup de cœur à Lisbonne. Expérience perdue en France, à Deauville, « Le 21ème arrondissement de Paris ». La France a changé. Les capitales occidentales ont changées. L’artisanat est prisé du public, mais les gouvernements ne le considèrent guère à sa juste valeur sociale, paradoxe sociétale ! A entendre un journal d’information belge, la Belgique y viendrait. Le Portugal pourrait également y penser, car il me semble le VRAI fond de commerce du pays. La présentation de chacune de ces TOP boutiques va être brève, car tout ce que je pourrais écrire à leur sujet, n’arrivera jamais à la cheville de la PASSION, du savoir faire, des attentions, que cachent ces PME. Poussez leurs portes, rencontrez les. Quatre parkings encerclent déjà ingénieusement ce triangle 4S.
Neighborhood where the application « Adeline A Lisbonne » has the highest density of heart stroke in Lisbon. Experience lost in France, Deauville, « The 21st arrondissement of Paris. » France has changed. Western capitals have changed. Handicraft is popular with the public, but governments do not consider it to its fair social value, societal paradox! To hear a Belgian news magazine, Belgium would come to it. Portugal could think about it too, because it seems to me the TRUE trade of the country. The presentation of each of these TOP shops will be brief, because all that I could write about them, will never arrive at the ankle of the PASSION, the know-how, the attentions, which these SMEs hide. Push their doors, meet them. Four car parks already cleverly encircle this 4S triangle.
Voyager, guides et récits de voyage, Palavra de Viajante En 2010, deux grandes voyageuses, amoureuses des livres, partent 40 jours à la découverte du Danube : « Nous devions voyager ensemble pour voir si on avait bien les mêmes idées en tête. Au retour, nous avons cherché le lieu idéal, avenida de Roma était beaucoup trop cher, nous avons ouvert rua Sao Bento, 30. On nous a souhaité beaucoup de courage, car on ne donnait pas cher de notre peau ! Il faut dire que le quartier était autre, nous étions seules au milieu de nul part ! En janvier 2015, après la fermeture du bar, nous avons emménagé dans ce bel espace au n° 34. De 1000 livres, la librairie invite aujourd’hui à découvrir plus de 5000 guides, récits et romans de voyage : 30% (anglais), 20% (français), 30% (portugais), et le reste en espagnol, en italien voire en allemand. Nous avons aussi quelques éditions plutôt portugaises dédiées aux enfants. Au fond de la librairie, un bel espace est voué aux lancements de livre, aux expositions et conversations informelles. Nous sommes locataires, mais nous avons beaucoup chance, la propriétaire était libraire précédemment. »
Traveling, guides and travelogues, Palavra de Viajante. In 2010, two great travelers, in love with books, go 40 days to discover the Danube: « We had to travel together to see if we had the same ideas in mind, and then we looked for the ideal place, Avenida de Roma. Was way too expensive, we opened rua Sao Bento, 30. We wanted a lot of courage because we did not give much of our skin! I must say that the area was different, we were alone in the middle of nowhere! In January 2015, after the closing of the bar, we moved into this beautiful space at No. 34. From 1000 books, the bookstore invites today to discover more than 5000 guides, stories and novels of travel: 30% (English) 20% (French), 30% (Portuguese), and the rest in Spanish, Italian or even German We also have some rather Portuguese editions dedicated to children At the bottom of the bookshop, a beautiful space is dedicated to the launches of book, exhibitions and informal conversations We are tenants, but we are very lucky, the owner was a bookseller previously. »
Poésie, convivialité, esthétique, élégance, Companhia Portugueza do Cha Depuis toujours Sebastian, l’argentin le plus portugais de Lisbonne, est passionné de Thé. Fin 2014, il sent le moment de vivre son rêve lorsqu’il découvre ce qui pourrait devenir une belle boutique, dans un quartier qu’il pense lui-même en devenir. En janvier 2017, je pousse la porte, la boutique est belle, feutrée, quoiqu’elle semble prise d’assaut par des photographes. En fait, c’était la télévision, l’émission de Manuel Luis Goucha ; notre Michel Drucker pour la Maison au Portugal ! Sorti du feu de conversations, Sebastian me rejoint et prend le temps de m’expliquer sa passion, son métier, et me présente MLG ; tous deux parlant couramment français. Depuis cette première rencontre, la Companhia Portugueza do Cha n’a de cesse de se développer pour ainsi devenir LA caverne d’Alibaba du Thé. Connaissez-vous les poétiques boules de Fleur de thé, cousues à la main, avec de belles feuilles qui se déplient lors de l’infusion ? Les filtres en papier qui permettent aux feuilles de parfaitement s’hydrater au contraire de la pince à thé ; les boites à sac (25g) aux fragrances subtiles de petits producteurs dénichés aux 4 coins du monde : la caverne d’Alibaba je vous dis (16 pays d’origine) !
Poetry, friendliness, aesthetics, elegance, Companhia Portugueza do Cha. Since always Sebastian, the most Portuguese Argentinian of Lisbon, is passionate of Tea. At the end of 2014, he feels the moment to live his dream when he discovers what could become a beautiful shop, in a neighborhood he thinks himself in the making. In January 2017, I push the door, the shop is beautiful, felted, although it seems stormed by photographers. In fact, it was television, the program of Manuel Luis Goucha; our Michel Drucker for the House in Portugal! Out of the fire of conversation, Sebastian joins me and takes the time to explain to me his passion, his job, and introduces me MLG; both fluent in French. Since that first meeting, the Companhia Portugueza do Cha has constantly developed to become the Alibaba Tea Cave. Do you know the poetic balls of tea flower, sewn by hand, with beautiful leaves that unfold during the infusion? Paper filters that allow the leaves to fully hydrate unlike the tea tongs; the sacks (25g) with subtle fragrances of small producers found in the 4 corners of the world: the Alibaba cave I tell you (16 countries of origin)!
Recevoir avec élégance, « racontez votre histoire », design personnalisée, broderie à la carte, Isabel Lara Design Avocate, la carrière d’Isabel prend fin avec la crise en 2010. Elle est passionnée de broderie, de tissus anciens, c’est l’heure de tourner sa veste vers les souvenirs à revisiter de sa grand-mère, et rejoint ainsi pour les mêmes raisons, ce quartier qui petit à petit s’éveille. Isabel Lara Design, c’est l’élégance, l’art de recevoir, l’opportunité de « raconter une histoire sur le linge de maison ou/et de table ». Une délicatesse infime, personnalisée à la carte, jusqu’à la touche finale d’un cadeau champêtre : sublime ! Le grand retour du trousseau Design… Isabel Lara design offre le parking « Auto Malpique » à ses clients.
Receive with elegance, « tell your story », personalized design, embroidery à la carte, Isabel Lara Design. Lawyer, the career of Isabel ends with the crisis in 2010. She is passionate about embroidery, old fabrics, it’s time to turn her jacket to memories to revisit her grandmother, and so joined to the same reasons, this neighborhood is slowly waking up. Isabel Lara Design is elegance, the art of receiving, the opportunity to « tell a story about linens and / or table ». A delicacy minute, personalized à la carte, until the final touch of a country gift: sublime! The big comeback of the Keychain Design … Isabel Lara Design offers parking « Auto Malbique » to its customers.
100% artisanat portugais, les trouvailles de Miguel, Tudo e Todos Dès que j’ai posé mes valises dans ce quartier de Lisbonne, locataire d’un airBnB, j’ai observé cette ancienne boulangerie s’épanouir sous la truelle de Miguel. L’arrière boutique était restée dans son jus avec son four à pain et son immense voûte en azulejos. Depuis mars 2017, l’ensemble est restauré où Paula nous accueille pour nous présenter différents styles de créations ou trouvailles artisanales portugaises, traditionnelles voire design. Miguel, ingénieur civil en bâtiment, a repris le chemin de la restauration pour des clients. Que d’échanges à bâtons rompus sur les différences culturelles, on a bien rit. Conséquence, il parle français comme Paula d’ailleurs…
100% Portuguese crafts, Miguel’s finds, Tudo e Todos. As soon as I put my bags in this neighborhood of Lisbon, tenant of an airBnB, I watched this old bakery flourish under the trowel of Miguel. The back shop had remained in its juice with its bread oven and its huge azulejo vault. Since March 2017, the whole is restored where Paula welcomes us to present us different styles of creations or artisanal finds Portuguese, traditional or even design. Miguel, civil engineer in building, has taken the path of restoration for customers. What a lot of talk about cultural differences, we laughed. As a result, he speaks French like Paula by the way …
De l’expérience graphique à l’art contemporain, Carrasco Art Gallery Après 30 années vouées au design graphique, Pedro, depuis juillet 2018 partage sa passion, l’art contemporain. Par mon intérêt porté à ce quartier, je suis une fidèle de sa galerie, car j’y découvre à chaque exposition un « jeune » artiste talentueux qui sublime la lumière. A l’occasion des fêtes de fin d’année, Carasco Art Gallery nous invite à l’Exposition collective de Noël, qui arrive à point, l’inauguration est ce lundi 9 décembr, de 18h à 21h, et se poursuivra jusqu’au 10 janvier.
From graphic experience to contemporary art, Carrasco Art Gallery.After 30 years devoted to graphic design, Pedro, since July 2018 shares his passion, contemporary art. Because of my interest in this neighborhood, I am a faithful of her gallery, because I discover at each exhibition a « young » talented artist who sublimates the light. On the occasion of the end of the year celebrations, Carasco Art Gallery invites us to the collective exhibition of Christmas, which comes to the point, the inauguration is this Monday, December 9, from 18h to 21h, and will continue until January 10th.
Dear Lisbon invite à poser ses valises dans le Triangle 4S, Charming House, idyllique, avec sa petite piscine et ses 20 chambres, mais aussi Gallery House et Living House.
Mais voilà, parler de la frénésie du Triangle 4S, à l’aube de 2020, mérite de s’y attarder, car sa position socio-économique est pour le moins devenue ambivalente, alors que l’avenir de Lisbonne pourrait s’y décider ? Évidemment d’autres quartiers lisboètes sont passés par là, Baixa, Alfama, Chiado, dépassés par le tsunami capitalistique. Mais le temps T a changé, l’heure des investissements revient à la normalité. En ce sens, il me semble une opportunité de partager les idées de ces entrepreneurs aussi passionnés qu’éclairés :
1. Le Triangle 4S est unique En effet, par sa situation géographique, il est, plutôt il devrait être la connexion, le nœud de la ville entre Ouest et Est. L’ouest, le quartier riche des capitales… Souhaitons nous toujours ce Triangle, artisanal et résidentiel (TOP shops) ? ou TOC shops ? Bien-sûr, artisanal et résidentiel ! Dans ce cas, le quartier n’est pas à la hauteur du défi à relever.
Quand il pleut les parapluies, les pavés qui glissent, l’enfer ! When it rains umbrellas, cobblestones, the hell !
But here, talk about the frenzy of the Triangle 4S, at the dawn of 2020, deserves to linger, because its socio-economic position is at least ambivalent, while the future of Lisbon could be decided ? Obviously other Lisbon neighborhoods have been there, Baixa, Alfama, Chiado, overwhelmed by the capital tsunami. But the time T has changed, the time of the investments returns to normality. In this sense, it seems to me an opportunity to share the ideas of these entrepreneurs as passionate as they are enlightened: 1. The Triangle 4S is unique Indeed, by its geographical location, it is, rather it should be the connection, the node of the city between West and East. The west, the rich capital district … Do we still want this Triangle, craft and residential (TOP shops)? or TOC shops? Of course, artisanal and residential! In this case, the neighborhood is not up to the challenge.
2. Gentrification et embourgeoisement Si en 2011 ce triangle était désolation, en 2017, on me présentait un appartement entre labyrinthe et paliers de 80m2 à 500KF. Aujourd’hui, on y parle de loyer de boutique à 2500€/mois ! Seuls des investisseurs non avertis de la réelle situation économique lisboète peuvent relever de tels challenges. Les loyers de certaines entreprises augmentent, certaines déménagent déjà, d’autres se restructurent, échangent… La demande supérieure à l’offre fait cesser l’activité artisanale de propriétaires, pensant peut être qu’une bulle immobilière est stable, et qu’un nouvel avenir s’offre enfin à eux… Bref, félicitons les propriétaires aux loyers raisonnables, car sinon la majorité des boutiques se videront, et cela d’autant plus vite que la circulation y est infernale. Bien-sûr, ces PME pionnières ne seront pas récompensées par leur énergie vouée à développer leur affaire, et leur quartier, mais surtout la capitale aura raté sa connexion entre ses quartiers Est et Ouest. Doit-il revivre le passé du quartier de Roma (après le feu à Chiado en 1988 et sa restructuration) ? Avenida de Roma qui s’en remet seulement, et encore grâce à de TOP commerçants, et bien-sûr avec l’aide des nombreuses expulsions de Chiado ! Tout cela faisant déjà partie du passé, le concept des vases communicants est extrêmement éphémère.
Notons qu’une capitale, une ville se développe toujours grâce à l’ambiance créée par ses commerçants. D’ailleurs, mon expérience entre Deauville et Lisbonne est sans appel : Deauville a perdu quasiment toutes ces « petites » boutiques indépendantes. Les restaurants sont devenus hors de prix, et la qualité n’est plus la règle, ou s’y exceptionnellement qu’aujourd’hui je file à l’ouest, entre Cabourg et Caen.
2. Gentrification If in 2011 this triangle was desolate, in 2017, I was presented an apartment between labyrinth and levels of 80m2 to 500KF. Today, we talk about rent of shop at 2500 € / month! Only investors unaware of the real economic situation in Lisbon can face such challenges. The rents of some companies are increasing, some are already moving, others are restructuring, exchanging … The demand exceeds the offer ceases the craft activity of owners, thinking maybe a real estatebubble is stable, and a new future is finally available to them … In short, congratulate the owners at reasonable rents, because otherwise the majority of shops will empty, and all the faster as traffic is infernal. Of course, these pioneering SMEs will not be rewarded with their energy dedicated to developing their business, and their neighborhood, but especially the capital will have missed its connection between its eastern and western neighborhoods. Should he relive the past of the Roma neighborhood (after the fire in Chiado in 1988 and its restructuring)? Avenida de Roma only relies on it, and thanks again to TOP traders, and of course with the help of the numerous evictions of Chiado! All this is already a thing of the past, the concept of communicating vessels is extremely ephemeral. Note that a capital, a city always develops thanks to the atmosphere created by its traders. Moreover, my experience between Deauville and Lisbon is without appeal: Deauville has lost almost all these « small » independent shops. The restaurants have become overpriced, and the quality is no longer the rule, or exceptionally that today I drive west, between Cabourg and Caen.
3. Raffinement (des entreprises) qui devrait associer Confort(du public) ? Difficile sujet, mais c’est aussi l’approche Entre Nous. Parler de tout dans une recherche d’harmonie, l’esprit portugais, plus que chahuté depuis 2015 sous les feux donc de LA déferlante capitalistique Internationale. Entre nous, la mairie de Lisbonne fait un travail remarquable, car faire des choix sous ces gigantesques changements en quelques années (souhaités et indispensables), en fond de crise mondiale, quel défi relevé. Cependant, face aux capitaux et à leur cavalerie (marketing, communication…), la destruction des PME est malheureusement souvent plus rapide que leur développement ; comme le prouve malheureusement les autres capitales du monde entier. Pourtant, et plus que jamais, l’humain revendique l’expérience, l’authenticité, l’élégance, le qualité prix… Comme argumente les commissaires João Mourão et Luís Silva de l’exposition « Formes anciennes, circonstances nouvelles« qui a lieu actuellement à la Galeria Vera Cortês : « La notion de ville future, où nous pourrions vivre un jour, est un exemple parfait de la façon dont le politique est toujours inscrit dans nos vies quotidiennes. ».
Le cinéma se veut également porteur d’impact social et
environnemental : » Certes, comme toutes les industries, le cinéma
a la nécessité de s’interroger sur son empreinte écologique. Mais ces dernières
années, on observe notamment dans les pays anglo-saxons une mode qui fait son
chemin, celle des films se voulant porteurs d’impact social et
environnemental. »…
« Après l’effort, le réconfort », c’est bon pour tous ! « After the effort, the comfort », it’s good for everyone !
Rua Poços dos Negros mérite que le public puisse s’y promener, s’y reposer, sans risquer d’être écraser par le Tram 28 (je tire mon chapeau à leurs conducteurs), son flux de circulation continu, et 50 voitures en stationnement, alors que quatre parkings l’entourent ! Le bas de la rua Sao Bento pourrait aussi, en journée, contribuer à optimiser le turnover des voitures en régulant leur stationnement à 1 ou 2h maximum.
L’art de vivre en ville, c’est le confort du piéton. Les pays, les villes, qui l’ont compris, se développent, les autres régressent. Le lobbying automobile est destructeur. Bien-sûr, l’Homme n’aime pas le changement, mais en fait, il s’adapte aussi vite qu’il cri au loup ; en tant que française j’en sais quelque chose !!
4. « Ne pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages » Le Portugal se bat comme un diable, et est donc en train de surmonter avec tous les honneurs la crise européenne (2010). L’implosion des pays du Maghreb, les avantages du FMI, et aujourd’hui la crise brésilienne, placent le Portugal et sa capitale Lisbonne, sous haute tension depuis 2015. Comme toujours, la bulle immobilière est un affront face au réel développement économique. Heureusement pour les Portugais, certains de ces pays se ressaisissent et aujourd’hui, l’offre immobilière devient bien supérieure à la demande, ce qui devrait rééquilibrer le « paradis social » lisboète. Le gouvernement a pris la décision d’augmenter significativement le SMIC… Bien évidemment, lorsque le travail est difficile et que l’on voit, pense, que certains se remplissent les poches sans rien faire, ça peut donner des idées aux propriétaires de cesser de travailler afin de les copier, mais ces Pro du Capital ont déjà fui vers une autre destination à dévisager… Bref, depuis deux ans, j’observe une danse de la PME locataire lisboète, avant que certains espaces se vident pour de bon ! Cette cause est entendue en France : trop d’espaces libres tue la demande… A Lisbonne, on me fait encore parfois référence aux centres commerciaux. En France, ils se sont effondrés sous une trop forte multiplication, et certainement par effet cumulés de loyers déraisonnables. Pendant ce temps, de petites villes à moindre notoriété prospèrent grâce à une bonne régulation de la loi de l’offre et de la demande, et à l’attention portée à leurs consommateurs et commerçants par l’administration.
« Nous vivons une phase de redéfinition et de transformation. La question du temps est fondamentale aujourd’hui. Quand on voit le numéro 1 mondial du luxe, LVMH, investir dans les hôtels Belmond, une sorte de fabrique à rêves, cela interroge. C’est bien la preuve que le luxe ne s’inscrit plus dans la possession de biens matériels mais dans le partage de valeurs et d’expérience », analyse Olivier Gabet.
L’avenir artisanal du Triange 4S devrait faciliter son développement sur « le partage de valeurs et d’expérience » impliquant confort et propreté. Les 50 voitures en stationnement, déguerpies, faciliteraient aussi d’y multiplier le passage des camions poubelles en journée. 2020, c’est demain.
Joyeux Noël ! Prochain Entre Nous, en ligne le dimanche 15 décembre. Le suivant, le 15.01.2020.
PS : Si je trouve les transports en commun lisboètes de qualité, nous sommes plusieurs à nous demander : pourquoi le bus 706 passe deux fois moins que le 727 ?
Application gratuite | Free app
3. Refinement (companies) that should associate comfort (public)? Difficult subject, but it is also the approach Between Us. Talking about everything in search of harmony, the Portuguese spirit, more than heckled since 2015 in the spotlight of the international capitalist break. Between us, the Lisbon City Hall is doing a remarkable job, because making choices under these gigantic changes in a few years (desired and indispensable), in the depths of the global crisis, what a challenge. However, faced with capital and their cavalry (marketing, communication …), the destruction of SMEs is unfortunately often faster than their development; as unfortunately proves the other capitals of the whole world. Yet, and more than ever, the human claims the experience, the authenticity, the elegance, the quality price … As curators João Mourão and Luís Silva argue of the exhibition « Ancient Forms, New Circumstances » currently taking place at the Galeria Vera Cortês : « The notion of a future city, where we could live one day, is a perfect example of the how politics is always inscribed in our daily lives. « .The cinema also aims to have a social and environmental impact: « Of course, like all industries, cinema has the need to question its ecological footprint, but in recent years, the Anglo-Saxon countries have fashion that is making its way, that of films wanting to bring social and environmental impact. « …
Rua Poços dos Negros deserves that the public can walk there, rest there, without risk of being trampled by the Tram 28 (I take my hat off to their drivers), its flow of continuous traffic, and 50 cars parked, while four car parks surround it ! The bottom of the rua Sao Bento could also, during the day, contribute to optimize the turnover of cars by regulating their parking at 1 or 2h maximum. The art of living in the city is the comfort of the pedestrian. The countries, the cities, which understood it, develop, the others regress. Automotive lobbying is destructive. Of course, the human being does not like change, but in fact, he adapts as fast as he cries to the wolf; as a french I know something !!
4. « Do not take the children of God for wild ducks » Portugal is fighting like hell, and is therefore overcoming all the honors with the European crisis (2010). The implosion of the Maghreb countries, the benefits of the IMF, and today the Brazilian crisis, place Portugal and its capital Lisbon, under high tension since 2015. As always, the housing bubble is an affront to real economic development. Fortunately for the Portuguese, some of these countries are recovering and today, the supply of real estate is well above demand, which should rebalance the « social paradise » Lisbon. The government has made the decision to significantly increase the SMIC … Of course, when the work is difficult and we see, think, some people fill their pockets without doing anything, it can give owners ideas to stop working in order to copy them, but these Pro Capital have already fled to another destination to stare …In short, for two years, I observe a dance of the SME leased Lisbon, before some spaces are empty for good! This cause is heard in France: too much free space kills the demand … In Lisbon, I am still sometimes referred to shopping centers. In France, they collapsed under an excessive multiplication, and certainly by cumulative effect of unreasonable rents. Meanwhile, smaller, lesser-known cities flourish by a good regulation of the law of supply and demand, and the attention paid to their consumers and their traders by the ‘administration. « We are in a phase of redefinition and transformation. The question of time is fundamental today. When we see the world’s number 1 luxury, LVMH, invest in Belmond hotels, a kind of dream factory, that questions. This is the proof that luxury no longer fits in the possession of material goods but in the sharing of values and experience, » Olivier Gabet analysis.The artisanal future of Triange 4S should facilitate its development on « the sharing of values and experience » involving comfort and cleanliness. The 50 cars parked, evaded, would also facilitate the passage of garbage trucks during the day. 2020 is tomorrow.
Merry Christmas Next Entre Nous, online on Sunday, December 15th. The following is on 15.01.2020.
Florence | Calçada CEM & Maud | Sedimento Ceramics Studio
De l’immobilier à Lyon au Pop Art et Street Art à Lisbonne, Calçada CEM
Florence étudie le stylisme modélisme, l’histoire de l’art et des costumes, sa fibre artistique l’oriente vers les galeries d’art. Son destin sera autre, à Lyon, dédié avec succès à la vente immobilière. En 2015, ses clients la dirigent vers Lisbonne : « Aidez-nous à trouver notre local commercial ». Sous le charme de la vie lisboète, l’histoire, Entre Nous, retiendra l’ouverture de Calçada Cem en 2017 : « Mon ami, Philippe, et moi-même avons trouvé ce bel espace, ayant vendu mes agences à Lyon, c’était l’opportunité de revenir à mes premiers amours, l’art contemporain, le vintage, le design, car Philippe lui travaille toujours en France, mais intervient aussi beaucoup dans la sélection des artistes et des œuvres que nous exposons. De l’idée d’un joli concept store avec une cinquantaine de fournisseurs sélectionnés, c’est la galerie d’art spécialisée Pop Art & Street Art qui s’est développé « entre la proximité des artistes portugais et internationaux, et l’enthousiasme de nos clients ». La passion, l’internationalisation, le marché, font bon ménage à Lisbonne ; même si ce n’est pas « l’eldorado » dont la presse fait les gros titres ! « La galerie nous permet de rencontrer un public très varié, sensible à notre proposition, ainsi qu’un panel d’artistes de toutes nationalités avec lesquels nous essayons d’entretenir un vrai dialogue, ce qui nous permet de répondre à des demandes particulières de la part des collectionneurs. C’est une véritable chance pour nous d’avoir un tel espace dans ce superbe quartier, c’est un écrin idéal et une scène en perpétuel mouvement.
From real estate in Lyon to Pop Art and Street Art in Lisbon, Calçada Cem : Florence studied fashion design, the history of art and costumes, and her artistic flair directed her towards art galleries. His destiny will be different, in Lyon, successfully dedicated to real estate sales. In 2015, her clients directed her to Lisbon: « Help us find our commercial premises ». Under the charm of Lisbon life, the story, Entre Nous, will retain the opening of Calçada Cem in 2017 : « My friend, Philippe, and I found this beautiful space, having sold my agencies in Lyon, it was the opportunity to come back to my first love, contemporary art, vintage, design, because Philippe still works in France but also intervenes a lot in the selection of artists and works that we expose. From the idea of a nice concept store with around fifty selected suppliers, it is the art gallery Pop Art & Street Art that has developed « between the proximity of Portuguese and international artists, and the enthusiasm of our customers « . The passion, the internationalization, the market, blend in Lisbon ; even if it is not the « eldorado » of which the press makes the headlines. « The gallery allows us to meet a very varied but sensitive audience, as well as a panel of artists of all nationalities with whom we try to maintain a real dialogue, which allows us to respond to particular requests from the share of collectors. It is a real chance for us to have such a space in this beautiful neighborhood, it is an ideal setting and a scene in perpetual motion.
Sr. Rocha ouvre une épicerie en 1976. A son décès, son fils reprend l’affaire en l’agrémentant d’un TOP bistrot. Plat du jour viande ou poisson (6,50 €), un excellent qualité prix. Une équipe fidèle. Nous pouvons y choisir notre vin, fruit, fromage ou autre dans les rayonnages de l’épicerie, et les savourer à table, quelle sympathique initiative. Comptez 10€ par personne (plat, dessert maison, boisson). Une belle histoire de quartier. Remercions Maud | Sedimento Ceramics Studio, de nous avoir confiée cette dynamique adresse de quartier.
From father to son, Loja do Sr. Rocha Sr. Rocha open a grocery store in 1976. On her death, her son took over the business by decorating it with a TOP bistro. Dish of the day meat or fish (€ 6.50), an excellent quality price. A faithful team. We can choose our wine, fruit, cheese or other in the shelves of the grocery store, what a friendly initiative. Count 10 € per person (dish, dessert house, drink). A beautiful neighborhood story. Thank Maud | Sedimento Ceramics Studio, for entrusting us with this dynamic neighborhood address.
Maud étudie la peinture, la photographie, la vidéo aux Beaux-arts de Rennes. Elle se professionnalise dans le webdesign. En 2004, en vacances à Lisbonne, elle s’y installe. Afin d’échapper à son ordinateur, en 2012, elle découvre la céramique en s’inscrivant à un workshop, Maud est rattrapée par sa passion : « je suis devenue accro à la céramique ». Du statut d’élève, à formatrice dans un atelier, elle y rencontre Úrsula, avec qui elle crée en 2016, l’atelier Sedimento | Sedimento Ceramics Studio : – « Nos tempéraments, nos cultures française et portugaise, complémentaires, ont permis de créer notre propre identité ». – « Comment cela se passe t-il ? » – « Nous avons eu beaucoup de chance » ! – « C’est à dire ? » – « En 2017, nous cherchions un atelier lorsque la propriétaire de mon appartement m’a parlé d’un garage, un espace de 120 m2 à louer. Nous avons diversifié les activités afin de rentabiliser l’espace et d’ouvrir nos portes à un public le plus large possible : nous avons des résidents permanents, complètements autonomes ; des résidents ponctuels artistes, des débutants en céramique que nous accompagnons dans leur projets le mercredi après-midi, et bien-sur les workshops. Récemment, nous avons eu l’opportunité de louer un autre espace près de l’atelier, une large vitrine avec vue sur rue qui nous permettra d’exposer notre travail. Cet espace, Sedimento Ceramics Show, ouvrira (probablement) début décembre, sur rendez-vous : un show pour Sedimento et une galerie pour divulguer des artistes céramistes. »
From webdesign in Rennes to ceramics in Lisbon, Sedimento Ceramics Studio Maud studies painting, photography, video at the Beaux-Arts de Rennes. She is becoming professional in the webdesign. In 2004, on holiday inLisbon, she settled there. In order to escape her computer, in 2012, she discovered ceramics by registering for a workshop, Maud is overtaken by her passion: « I became addicted to ceramics ». From student status, to trainer in a workshop, she meets Úrsula, with whom she creates in 2016, the Sedimento workshop | Sedimento Ceramics Studio: – « Our temperaments, our complementary French and Portuguese cultures have made it possible to create our own identity ». – « How is it going ? » – « We were very lucky »! – « That is to say ? » – « In 2017, we were looking for a workshop when the owner of my apartment told me about a garage, a space of 120 m2 for rent. We have diversified the activities to make the space more profitable and open our doors to the widest possible audience : we have permanent residents who are completely independent; punctual artists, ceramics beginners that we accompany in their projects on Wednesday afternoons, and of course the workshops. Recently, we had the opportunity to rent another space near the workshop, a large window with street view that will allow us to expose our work. This space, Sedimento Ceramics Show, will open (probably) at the beginning of December, by appointment: a show for Sedimento and a gallery to divulge ceramic artists. «
Pourrait-on dire que les français ont la bougeotte ? Je dirai plutôt que la magie de Lisbonne invite à vivre de sa Passion. Une Passion singulière, communicative, qui par intérêt mutuel et enthousiasme partagé développent des synergies, des réseaux, des connexions… L’eldorado de Lisbonne, c’est cette synergie qui se tisse au fil des rencontres. Il faut de la curiosité et du temps afin que la magie opère.
Could we say that the French have the fagot? I will say rather that the magic of Lisbon invites to live of his Passion. A singular passion, communicative, which by mutual interest and shared enthusiasm develop synergies, networks, connections … The Lisbon Eldorado is the synergy that weaves through the meetings. It takes curiosity and time for magic to work.
Salgado travaille sur le marché de la publicité puis devient producteur de photographie et de cinéma. « Le pas vers le design d’intérieur s’est fait naturellement. Le design a toujours attiré mon attention. J’ai toujours été fasciné par la façon dont le design et la fonctionnalité d’une pièce peuvent et doivent fonctionner ensemble. En 2013, j’ai commencé à travailler avec une décoratrice d’intérieur brésilienne sur des projets de décoration. J’étais manager de projets. J’ai commencé à m’intéresser aux luminaires des années 50, 60, 70, au mobilier portugais de ces décennies, et à collectionner les lampes vintages. Lorsque j’ai réalisé que ma collection était déjà très grande, j’ai créé une entreprise pour les vendre, et cela d’autant plus vite qu’un vaste espace de l’autre de la rue où je vivais depuis plus de 20 ans, était disponible. »
From advertising, to photography and film production, to design, MID MOD – Original Vintage Salgado works in the advertising market then becomes a producer of photography and cinema. « The step towards interior design has come naturally, design has always caught my eye, and I’ve always been fascinated by how the design and functionality of a room can and should work together. I started working with a Brazilian interior designer on decoration projects, I was a project manager and I started to get interested in fixtures from the 50s, 60s, 70s, the Portuguese furniture of these decades, and collectible vintage lamps.When I realized that my collection was already very large, I created a company to sell them, and that much faster than a large space of the other of the street where I lived for over 20 years, was available. «
Comment est née votre passion du vintage ? Le vintage offre une qualité de conception bien supérieure à un grand nombre de pièces contemporaines. Ce second marché élimine la dépense de nouvelles ressources à la production. D’une certaine manière, il contribue à la protection de l’environnement en donnant une nouvelle vie à des pièces originales placées harmonieusement dans l’intérieur de nos clients. Le vintage et le design offrent une opportunité de bon sens exceptionnelle. C’est aussi la flamme qui anime Florence et Maud, notre charmant quartier résidentiel niché à flan de colline a de la chance ».
How was born your passion for vintage? The vintage offers a quality of design far superior to many contemporary pieces. This second market eliminates the expense of new resources to production. In a way, it contributes to the protection of the environment by giving new life to original pieces placed harmoniously in the interior of our customers. Vintage and design offer an opportunity for exceptional sense. It is also the flame that drives Florence and Maud, our charming residential neighborhood nestled on the hillside is lucky.
Quelle époque préférez-vous dans le design vintage ? C’est une question difficile. Au début, les années 50, 60 ,70 ont retenu mon attention, le milieu du siècle moderne (origine du nom du magasin, Mid Mod, diminutif de Mid Century Modern). Au fil du temps, des mouvements tels que Art Nouveau, Art Déco, Bauhaus, Streamline et Space Age ont enrichi ma collection. Aujourd’hui, nous sommes passionnés de Design du XXe siècle.
Which era do you prefer in vintage design? This is a difficult question. At the beginning, the 50s, 60s, 70s caught my attention, the mid-century modern (origin of the name of the store, Mid Mod, diminutive of Mid Century Modern). Over time, movements such as Art Nouveau, Art Deco, Bauhaus, Streamline and Space Age have enriched my collection. Today, we are passionate about 20th century design.
Quartier voisin de Sao Bento, Entre Nous d’octobre dernier, mon coup de cœur lisboète 2018 ; Estrela est mon coup de cœur 2019 ! Les étoiles s’y multiplient, tel Ding Dong Store, ses jeunes et réputés architectes d’intérieur, Maria Joao Gonçalves et Michael Miranda, influenceurs, accompagnés de l’ingénieur Davide Gomes.
Estrela in english star, starry … Neighborhood next Sao Bento, Entre Nous last October, my favorite Lisbon Lisbon 2018; Estrela is my favorite 2019 ! The stars are multiplying, such as Ding Dong Store, its young and renowned interior designers,Maria Joao Gonçalves and Michael Miranda, influencers, accompanied by the engineer Davide Gomes.
Florence, Maud, en votre compagnie, je suis fière d’être française. Un accueil comme à la portugaise : on parle, on bosse, on rigole, on stresse, on partage, c’est la vie ! Salgado, les équipes Rocha et Ding Dong, les portugais qui nous accueillent si bien, encore et toujours MERCIII. L’ouverture vers les autres comme la diversité culturelle est essentielle.
Thank youFlorence, Maud, in your company, I am proud to be French. A welcome like the Portuguese : we talk, we work, we laugh, we stress, we share, it’s life! Salgado, the Rocha and Ding Dong’s team, the Portuguese who welcome us so well, again and again THANK YOU. Opening to others as cultural diversity is essential.
Retrouvez mes coups de cœur, l’agenda Adeline A Lisbonne, les inaugurations de la semaine, marchez dans mes pas (J-2)… Plus de 1000 adresses géolocalisées entre 7 fantastiques collines (effacées via l’application gratuite).
Find my favorites, the agenda Adeline A Lisbonne, inaugurations of the week, walk in my steps (J-2) … More than 1000 geolocated addresses between 7 fantastic hills (cleared via the free application).
Kean, pourriez-vous nous présenter l’équipe organisatrice de LAW – Lisbon Art Weekend ? Merve et moi-même sommes les cofondateurs de l’événement. Kasia travaille avec nous comme project manager afin de nous aider dans l’élaboration du Weekend.
Google Traduction : Kean, could you introduce us to the LAW organizing team? Merve and I are the co-founders of the event. Kasia works with us as project manager to help us in the development of the Weekend.
A qui doit-on la primeur de l’événement ? En fait, nous visitions des Gallery Weekend ainsi que des foires d’art contemporain à travers l’Europe. Merve, cherchant un Gallery Weekend lisboète ou un rendez-vous dédié à l’art contemporain similaire afin d’y assister, s’est rendue compte de l’absence d’un tel événement, et du vide que ça créait pour le développement de la scène lisboète. Ensemble, nous avons trouvé qu’un tel format s’accommoderait très bien à la ville, notamment, mais surtout à la scène d’art contemporain croissante. Travaillant tous les deux dans le milieu de l’art contemporain auparavant, nous nous sommes enthousiasmés de pouvoir apporter notre contribution. Si dans un premier temps, nous avions lancé l’idée de développer un Gallery Weekend lisboète, après pour être dans une optique plus inclusive, nous avons opté pour changer la terminologie et la structure vers un Art Weekend.
Who should be the first of the event? In fact, we visited Gallery Weekend as well as contemporary art fairs throughout Europe. Merve, looking for a Lisbon Gallery Weekend or a meeting dedicated to contemporary art to attend, realized the absence of such an event, and the void it created for the development of the Lisbon scene. Together, we found that such a scheme would accommodate very well to the city, in particular, but especially to the growing contemporary art scene. Working both in the field of contemporary art before, we were excited to be able to contribute. If at first, we had launched the idea of developing a Lisbon Gallery Weekend, then to be more inclusive, we opted to change the terminology and structure to an Art Weekend.
Quand l’idée a t-elle germée? L’idée a plus ou moins mûrie en août 2018, puis on a commencé à faire les toutes premières démarches structurelles. Cependant, c’est seulement début 2019 que nous avons commencé très activement à développer l’événement.
When did the idea sprout ? The idea has more or less matured in August 2018, then we started to make the first structural steps. However, it’s only early 2019 that we started very actively developing the event.
Quelle en est l’idée originelle ? La raison d’être de Lisbon Art Weekend est de contribuer au développement de la scène artistique lisboète, participer à sa fluidité, dans un registre le plus impartial et sain possible. Et ainsi encourager le public et les professionnels de la scène, portugaise et internationale, à visiter les espaces dédiés à l’art contemporain.
What is the original idea? The purpose of Lisbon Art Weekend is to contribute to the development of the Lisbon art scene, to participate in its fluidity, in the most impartial and healthy way possible. And so encourage the public and professionals of the scene, Portuguese and international, to visit spaces dedicated to contemporary art.
L’idée à -t-elle évoluée au fil des mois ? En effet, l’idée a mutée. Il s’agissait à l’origine d’un Gallery Weekend, puis au fur et à mesure, nous avons souhaité être plus inclusif. La nécessité d’élargir le champ de l’événement est venu de la volonté de promouvoir tous les aspects de la scène artistique, et ainsi l’événement est devenu un Art Weekend. Il y a aussi eu de nombreux obstacles structurels, car nous étions à l’origine plus ambitieux sur notre programme parallèle : D’autres idées nous animaient, comme la diffusion de vidéos artistiques sur grand écran en plein air ou un circuit dédié aux performances, remis aux éditions futures, l’année prochaine par exemple !
Has the idea evolved over the months? Indeed, the idea has mutated. It was originally a Gallery Weekend, then as, we wanted to be more inclusive. The need to broaden the scope of the event came from the desire to promote all aspects of the art scene, and so the event became an Art Weekend. There were also many structural hurdles, because we were originally more ambitious on our side program : Other ideas animated us, like the diffusion of artistic videos on big screen in the open air or a circuit dedicated to the performances, given to future editions, the next year for example!
Pourquoi cette date ? La date de l’événement à été une décision très importante dans la mesure où nous voulions que le Weekend Lisbonne ne chevauche pas d’autres rendez-vous artistiques importants en Europe ou ailleurs. C’était notre prérogative car dans le futur, nous aimerions que Lisbon Art Weekend devienne un événement qui puisse avoir une vocation internationale.
Why this date?The date of the event was a very important decision as we wanted the Lisbon Weekend not to overlap with others importants artistics events in Europe or elsewhere. It was our prerogative because in the future, we would like Lisbon Art Weekend to become an event that can have an international vocation.
Pourquoi avoir focalisé l’événement sur trois jours ? Nous avons focalisé l’événement sur trois jours car c’est la teneur d’un weekend. Afin que ce Weekend soit un rendez-vous annuel, dans lequel le public soit conscient qu’il y ait cette opportunité de visiter des lieux dédiés à l’art contemporain à Lisbonne, et puisse ainsi s’y préparer. C’est aussi potentiellement intéressant pour un public international, ou des professionnels qui aimeraient venir de l’étranger. LAW crée l’opportunité, dépendamment des priorités de chacun, de visiter Lisbonne et d’y découvrir la scène d’art contemporain.
Why focus the event on three days? We focused the event on three days because it is the content of a weekend. So that this Weekend is an annual meeting, in which the public is be aware that there is this opportunity to visit places dedicated to contemporary art in Lisbon, and so be prepared for it. It is also potentially interesting for an international audience, or professionals who would like to come from abroad. LAW creates the opportunity, depending on the priorities of each, to visit Lisbon and discover the contemporary art scene.
Quelles sont les personnes que vous souhaiteriez rencontrer à l’occasion de Lisbon Art Weekend ? Nous aimerions retrouver un public diversifié, composé non seulement de visiteurs occasionnels qui pourraient découvrir la scène lisboète, mais aussi des artistes, des collectionneurs et des professionnels du monde de l’art, du Portugal et de l’étranger. On aimerait aussi retrouver, et rencontrer, des artistes, qui sont naturellement intéressés par la scène lisboète. On aimerait aussi rencontrer des gens pour qui il y aurait une volonté d’avoir une expérience épanouissante, parce que visiter ces lieux partenaires, c’est en découvrir les expositions, dont chacune, dans une mesure relative, tend à offrir une perspective inattendue sur les sujets abordés.
Who are the people you would like to meet during Lisbon Art Weekend? We would like to find a diverse public, composed not only of occasional visitors who could discover the Lisbon scene, but also artists, collectors and professionals from the world of art, Portugal and abroad. We would also like to meet and meet artists who are naturally interested in the Lisbon scene. We would also like to meet people for whom there is a desire to have a fulfilling experience, because visiting these partner places is to discover the exhibitions, each of which, in a relative measure, tends to offer an unexpected perspective on the topics addressed.
En plus des 22 lieux d’exposition qui tiendront leurs portes ouvertes, les Vendredi 15, Samedi 16 et Dimanche 17 Novembre, avez-vous des sponsors ? Pourriez-vous nous les présenter ? Alors, juste pour clarifier la question, l’approche est bénévole, les partenaires ne financent pas ce Art Weekend. C’était pour nous une prérogative importante de ne pas accepter, ni de demander de rémunérations des participants. Nous pensons qu’accepter des rémunérations, en particulier à l’occasion de la première édition, pourrait modifier l’initiative. Dans cette situation, notre crainte était de produire un effet non bénéfique sur la scène lisboète, qui pouvait fortement contribuer à scléroser son statu quo. Et par incidence, empêcher cette fluidité à laquelle l’événement tend à travers cette édition et des éditions futures. Ainsi pour notre première édition, nous avons la chance de pouvoir collaborer gracieusement avec la Fundación Arco afin qu’elle nous aide avec la partie des tours privés et publics de l’événement. Nous avons aussi un partenariat avec le Turismo de Lisboa pour la diffusion à travers toute la capitale des plans du Art Weekend. Leurs écrans à travers la ville vont aussi diffuser des vidéos promotionnelles de l’événement. Nous finançons le projet pour cette édition.
In addition to the 22 exhibition venues that will open their doors on Friday 15, Saturday 16 and Sunday 17 November, do you have any sponsors? Could you introduce them to us? So, just to clarify the question, the approach is voluntary, partners do not fund this Art Weekend. It was an important prerogative for us at present not to accept or ask for remuneration from the participants. We believe that accepting fees, especially for the first edition, could change the initiative. In this situation, our fear was to produce a non-beneficial effect on the Lisbon scene, which could strongly contribute to undermine its status quo. And by incidence, to prevent this fluidity to which the event tends through this edition and the plan of future editions. For our first edition, we are fortunate to collaborate with Fundación Arco to help us with the private and public tours of the event. We also have a partnership with the Turismo de Lisboa for the diffusion throughout the capital of the Art Weekend plans. Their screens across the city will also broadcast promotional videos of the event. We are funding the project for this edition.
Pourquoi ont-ils apprécié le projet ? Dans le cas de la Fundación Arco, c’est leur domaine, c’est une fondation qui a plus de 30 années d’existence, très active et présente dans l’accompagnement de tels projets via leurs Arco Gallery Walks, notamment en organisant la Foire d’Art Contemporain de Madrid | Arco Madrid, et plus récemment, depuis quelques années, la Foire d’Art Contemporain de Lisbonne | Arco Lisboa. De fait, elle s’intéresse activement à la scène lisboète et y contribue dans une mesure importante.
Why did they like the project? In the case of Fundación Arco, it is their domain, it is a foundation that has more than 30 years of existence, very active and present in supporting such projects through their Arco Gallery Walks, especially in organizing the Madrid Contemporary Art Fair | Arco Madrid, and more recently, in recent years, the Contemporary Art Fair in Lisbon | Arco Lisboa. In fact, she is actively interested in the Lisbon scene and contributes to a significant extent.
Quelles galeries, quels projets vous ont enthousiasmés ? Nous sommes très honorés quant à la volonté d’associer des espaces dédiés à l’art contemporain (galeries, résidences d’artistes, et espaces d’expositions à but non lucratif). Chacun d’entre eux contribuant à l’authenticité de l’événement. Certains de ces participants ont en fait été sélectionnés par un comité de sélection que nous avons souhaité et qui est composé de professionnels du milieu (Adelaide Ginga, Carlos Duràn, Carolina Pimenta, Deborah Harris et Luiza Teixeira de Freitas). Ainsi, nous nous fions à cette sélection effectuée de manière impartiale et professionnelle, et qui nous semble adéquate. Les projets proposés par les galeries et espaces d’expositions sont très enthousiasmants dans leur ensemble. Il s’agira d’assister à des vernissages, à des cocktails dînatoires ou brunch, à des présentations des expositions par l’artiste en personne ou le curateur, à des performances conçues pour l’occasion. Chaque participant orgnise au moins un événement lors Art Weekend.
Which galleries, which projects have you excited about? We are very honored as to the desire to associate spaces dedicated to contemporary art (galleries, artist residencies, and non-profit exhibition spaces). Each of them contributing to the authenticity of the event. Some of these participants were actually selected by a selection committee that we wanted and which is made up of professionals from the field (Adelaide Ginga, Carlos Duran, Carolina Pimenta, Deborah Harris and Luiza Teixeira de Freitas). Thus, we rely on this selection made impartially and professionally, and which seems adequate. The projects proposed by galleries and exhibition spaces are very exciting as a whole. It will consist of attending openings, cocktail or brunch cocktails, presentations of the exhibitions by the artist himself or the curator, performances designed for the occasion. Each participant organizes at least one event during Art Weekend.
Les affichettes sont violettes, rouges, jaune et vertes, ces couleurs ont-elles une signification ?
L’identité visuelle du projet à été décidé avec un studio de design avec lequel nous nous entendons très bien (Desisto). Un des principes important était de suggérer à travers l’identité visuelle, l’idée de mobilité et de dynamisme, caractéristique de Lisbonne actuellement. Donc pour revenir à ces couleurs, elles n’ont pas une signification particulière, si ce n’est le jaune auquel nous tenions, car il nous semblait emblématique de Lisbonne.
The promotional posters of the event are yellow, purple, green and red, do they have any significance? The visual identity of the project was decided with a design studio with which we get along very well (Desisto). One of the important principles was to suggest, through visual identity, the idea of mobility and dynamism, characteristic of Lisbon today. So to return to these colors, they do not have a particular meaning, if not the yellow which we wantedbecause it seemed emblematic of Lisbon.
Application et navigation durant l’événement Pendant l’événement des plans seront tenus à disposition dans les offices de tourismes ; ils seront aussi distribués. En parallèle, notre site web aura un espace dédié à la navigation entre les participants. Celui-ci inclura notamment les descriptions de chaque événement en anglais. L’application « Adeline A Lisbonne » propose les textes en français, en anglais et en portugais, comme à son habitude, selon la langue préférée de l’utilisateur.
Application and navigation during the event : During the event plans will be made available in the tourist offices; they will also be distributed. In parallel, our website will have a dedicated space for navigation between participants. This will include the descriptions of each event in English. The application « Adeline A Lisbonne » offers the texts in French, English and Portuguese, as usual, according to the preferred language of the user.
Ingénieur chimiste, Carlos est déjà à 20 ans un écrivain engagé. Il s’oppose aux guerres en Afrique car il revendique la liberté, le choix des peuples. « Exilé en France, je reviens comme un fou après le 25 avril 1974, j’ai tout laissé en France alors qu’une belle carrière s’offrait à moi. Partir, c’est compliqué, ne pas pouvoir revenir, c’est dur. ». Carlos adore acheter et vendre, passionné d’art, il ouvre en 1988 la galerie Ara (pierre sacrée), avenida da Liberdade. Ainsi, suit le rachat de l’entreprise d’encadrement, Moldureira Espanhola. Les loyers augmentent, Carlos rêve toujours d’Indépendance, de liberté, « je rêve d’un espace spécial », et investit à proximité du Zoo de Lisboa (800m2). « Sans rêverie pas d’enfance » (Gaston Bachelard). Parallèlement, le temps fait son chemin, l’écrivain engagé devient un poète intime et philosophique.
Liberty, poetry and contemporary art, Carlos Carvalho and Carlos Frias de Carvalho: Chemical engineer, Carlos is already 20 years old a committed writer. He opposes wars in Africa because he claims freedom, the choice of peoples. « Exiled in France, I come back like a madman after April 25, 1974, I left everything in France while a nice career offered itself to me .. To leave, it is complicated, not being able to return, it is hard. « Carlos loves buying and selling, passionate about art, he opened in 1988 the gallery Ara (sacred stone), avenida da Liberdade. Thus, follows the acquisition of the management company, Moldureira Espanhola. Rents increase, Carlos always dream of Independence, freedom, « I dream of a special space », and invest near the Zoo of Lisboa (800m2). « Without reverie no childhood » (Gaston Bachelard). At the same time, time is on its way, the committed writer becomes an intimate and philosophical poet. The editions follow one another in Portugal, Brazil and Spain The editions follow one another in Portugal, Brazil and Spain under the name of Carlos Frias de Carvalho.
Sous les crayons des réputés frères architectes Aires Mateus. la galerie prend forme. En 2005, c’est le tournant vers l’art contemporain en général, avec un focus sur la photographie.
Under the pencils of renowned architects Aires Mateus. the gallery takes shape. In 2005, it is the turning point to contemporary art in general, with a focus on photography.
Pourquoi participer au Lisbon Art Weekend ? – « Pour l’artiste, Tiago Casanova, qui le mérite, et aussi pour augmenter la visibilité de la galerie au sein de notre capitale qui s’internationalise. Nous participons à Paris Photo (5 au 10 novembre 2019), Photo London, ARCO Madrid (pendant 15 ans), Arco Lisboa, Photo Basel Drawing Room Madrid et Lisbonne, et aussi au LAAF.
Why participate in the Lisbon Art Weekend? – « For the artist, Tiago Casanova, who deserves it, and also to increase the visibility of the gallery within our capital that is international. We participate in Paris Photo (5 to 10 November 2019), Photo London, ARCO Madrid (for 15 years), Arco Lisboa, Photo Basel Drawing Room Madrid and Lisbon, and also at LAAF.
Présentez-nous Tiago Casanova ? – « C’est un jeune architecte photographe né à Madère (1988). Tiago a reçu le Prix B.E.S Révélation 2012 ; B.E.S. Banco Espirito Santo (Novo Banco), la première collection de photographie du Portugal. Ce sera sa première exposition individuelle à la galerie. Il travaille principalement la photographie, et s’appuie sur sa formation d’architecte pour rechercher et élaborer de nouveaux projets artistiques, en explorant différentes approches contemporaines convoitant l’utilisation de divers supports (installations, sculpture, illustration, dessin, vidéo, son, texte et spécialement la photographie), afin de réfléchir et de commenter les villes, le territoire et la société d’aujourd’hui. Entre Nous, nous serons heureux de vous le présenter ainsi qu’à chaque lecteur de votre chronique. » – « Avec plaisir. »
Present us Tiago Casanova? – « This is a young photographer photographer born in Madeira (1988). Tiago received the B.E.S Revelation 2012 Award; B.E.S. Banco Espirito Santo (Novo Banco), Portugal’s first photography collection. This will be his first solo exhibition at the gallery. He works mainly photography, and relies on his architectural training to research and develop new artistic projects, exploring different contemporary approaches coveting the use of various media (installations, sculpture, illustration, drawing, video, sound, text and especially photography), in order to reflect and comment on the cities, the territory and the society of today. Between us, we will be happy to present it to you and to each reader of your column. « – » With pleasure. »
Photographie – Vidéo – Installation Tiago Casanova | De quelle manière le vent souffle L’histoire de la mer Méditerranée est d’une importance capitale pour la compréhension de l’origine et du développement de la civilisation occidentale. Depuis l’Antiquité, elle constitue le principal moyen de navigation pour établir des échanges commerciaux et culturels entre les peuples naissants… Le projet de Tiago Casanova présenté à la galerie Carlos Carvalho a pour objectif de rappeler certaines des relations humaines avec la mer Méditerranée d’aujourdhui et ainsi, voir comment elles pourraient être vues dans un avenir lointain… Cette exposition se veut un récit visuel de la crise de l’émigration, sans la représenter, c’est-à-dire un accent sur la société contemporaine qui choisit d’ignorer les preuves visuelles et politiques, et qui préfère croire que les dieux peuvent transformer les êtres humains en pierres.
Photography – Video – Installation Tiago Casanova | How the wind blows Tiago Casanova’s project presented at the Carlos Carvalho Gallery aims to recall some of the human relations with the Mediterranean Sea today and see how they could be seen in the distant future … Tiago Casanova’s project presented at the Carlos Carvalho Gallery aims to recall some of the human relations with the present Mediterranean Sea and to see how they could be seen in the distant future... This exhibition is intended to be a visual account of the emigration crisis, without representing it, that is to say a focus on contemporary society that chooses to ignore visual and political evidence, and prefers to believe that the gods can turn human beings into stones.
Théâtre, art contemporain, José Mario Brandao Après des études secondaires, José Mario travaille au secrétariat de l’Institut Français de Porto. Il passe par le Théâtre de l’Institut et, plus tard intègre la Compagnie professionnelle du TEP : – « J’étais un mauvais comédien. Puis, ce fut l’appel pour 27 mois de guerre en Angola. Le retour fut complexe, mais à force de détours et de rebondissements, avec l’aide d’un artiste directeur de la Coopérative Árvore, José Rodrigues, j’ai travaillé plusieurs années dans sa galerie. J’y ai connu beaucoup d’artistes dont Vieira da Silva et Albuquerque Mendes. En 1986, j’ai créé la galerie Nasoni à Porto, en 1996 la Galerie Canvas, et en 2006 je me déplace à Lisbonne avec la Galerie Graça Brandão. ».
Theater, contemporary art, José Mario Brandao : After high school, José Mario works at the secretariat of the French Institute of Porto. He goes through the Theater of the Institute and later integrates the Professional PET Company: « I was a bad comedian. Then, it was the call for 27 months of war in Angola. The return was complex, but by dint of detours and twists, with the help of an artist director of the Cooperative Árvore, José Rodrigues, I worked several years in his gallery. I have known many artists including Vieira da Silva and Albuquerque Mendes. In 1986, I created the Nasoni Gallery in Porto, in 1996 the Canvas Gallery, and in 2006 I moved to Lisbon with the Graça Brandão Gallery. « .
Pourquoi participer au Lisbon Art Weekend ? – « Une galerie d’art est un lieu de vie, de culture, elle doit y accueillir le plus de monde possible. Un événement d’art contemporain à l’automne à l’occasion d’un weekend est une excellente idée. »
Présentez-nous l’artiste de l’exposition, Nelson Leirner ? – « Comme tous les artistes de la galerie, c’est un ami qui présente un travail de grande qualité. Il est brésilien, né en 1932. J’aime son accumulation d’objets du quotidien transformée en œuvre d’art, reflet, critique de son pays. Mais suis-je encore dans le ton, lorsque j’entends se féliciter d’une nomination à la tête d’un centre culturel une personne connaissant le marché ?!». – « J’ai peu d’expérience dans votre domaine, mais ce qui m’émoustille déjà, c’est la légèreté, la critique, la nouveauté. Ce monde réducteur de standardisation, de pasteurisation, me consterne aussi. » – « Le monde est un dialogue d’observation, de partage, c’est en cela que la culture artistique respire, se renouvelle, s’élève… ». – « C’est ce que j’adore à Lisbonne, ce que je nomme « l’esprit portugais ». Je vous remercie de le partager et de le préserver. »
Introduce us the exhibition artist, Nelson Leirner? – « Like all the artists of the gallery, it is a friend who presents a work of high quality. He is Brazilian, born in 1932. I like his accumulation of everyday objects transforming into a artwork, reflection, criticism of his country. But am I still in the mood, when I hear congratulations on a nomination at the head of a cultural center, someone who knows the market ?! « – « I have little experience in your field, but what already arouse is the lightness, the criticism, the novelty. This reducer world of standardization, of pasteurization, also dismays me. « – « The world is a dialogue of observation, sharing, it is in this that the artistic culture breathes, renews itself, rises … ». – « This is what I love in Lisbon, what I call « the Portuguese spirit ». I thank you for sharing it and preserving it. « .
Après un master Histoire de l’art à Tubingen en Allemagne, un master de commissaire FBAUL avec le soutien de Gulbenkian à Lisbonne, en suivant ses premières expériences au Musée Gulbenkian et dans des galeries d’art contemporain de Lisbonne, Alda crée avec son mari, Fernando Belo, entrepreneur culturel, sa propre galerie d’art contemporain (2012). « Nous croyons à la diversité et à la richesse multiculturelle, c’est la raison pour laquelle nous travaillons avec des artistes d’origines et de générations différentes, afin de les présenter à la scène artistique portugaise et internationale, à ses collectionneurs et à ses institutions. Ils montrent un grand intérêt pour l’exploration des valeurs de la société contemporaine en utilisant un large éventail d’expressions, du dessin à la sculpture, de l’installation à la vidéo, en abordant des thèmes qui reflètent ainsi leur patrimoine culturel varié. ».
After a master’s degree in Art History in Tubingen, Germany, a Master FBAUL with the support of Gulbenkian in Lisbon, following her first experiences at the Gulbenkian Museum and in contemporary art galleries of Lisbon, Alda creates with her husband, Fernando Belo, cultural entrepreneur, his own contemporary art gallery (2012). « We believe in diversity and multicultural richness, which is why we work with artists of different origins and generations to present them to the Portuguese and international art scene, its collectors and institutions. They show a great interest in exploring the values of contemporary society by using a wide range of expressions, from drawing to sculpture, from installation to video, by addressing themes that reflect their varied cultural heritage . « .
Pourquoi participer au Lisbon Art Weekend ? Galeria Belo-Galsterer participe à la 1ère édition LAW 2019, car nous pensons qu’il nous faut au moins un événement d’art contemporain capable de devenir un événement artistique international important tel que cela se produit dans d’autres pays ; pour exemple Berlin Gallery Weekend et Apertura Madrid. Evénement qui anime le marché de l’art, la scène artistique de Lisbonne, en plus des deux foires internationales d’art actuelles, sans avoir à payer un espace et à se déplacer. Les galeries, associations et institutions d’art proposent leur propre programme dans leur propre espace, et invitent ainsi le public et les collectionneurs à participer au week-end et aux activités qu’elles proposent.
Why participate in the Lisbon Art Weekend? Galeria Belo-Galsterer participates in the 1st edition LAW 2019, because we think that we need at least one contemporary art event capable of becoming an important international artistic event as it happens in other countries for example Berlin Gallery Weekend and Apertura Madrid. Event that animates the art market, the artistic scene of Lisbon, in addition to the two current international art fairs, without having to pay a space and to move. Galleries, associations and art institutions offer their own program in their own space, and invite the public and collectors to participate in the weekend and the activities they offer.
Présentez-nous les artistes de l’exposition ? Joana Gomes | Double Poetics Oeuvres abstraites sur toile, en grand et moyen formats, ainsi que des œuvres sur papier, qui nous entraînent dans un voyage à la suite d’une exploration énergique, curieuse et très personnelle de l’artiste. Le commissaire Inês Valle, conservateur, explique à propos de ces nouvelles œuvres que «l’artiste se concentre sur le paradigme de la peinture pour explorer les valeurs conceptuelles, formelles et matérielles. Elle souhaite que le spectateur explore et absorbe la force de l’œuvre par ses éléments iconographiques multilingues. Un désir qui va au-delà de la communication, avec une approche plus profonde qui encourage une quête pour voir, trouver un sens et assimiler l’objet à de l’art.
Jorinde + Joringel | Daniela Krtsch Artiste allemande multidisciplinaire qui vit et travaille à Lisbonne. Bien qu’elle soit très connue pour ses peintures à l’huile figuratives sur toile, son esprit ouvert et curieux l’a toujours amenée à explorer de nouveaux territoires en collaborant dans des clips vidéo pour des groupes de musique (Micro Audio Waves), comme tout en étant présent dans les projets cinématographiques (par exemple, le film «Patrick», 2019, de Gonçalo Waddington). Ainsi, toutes ses inspirations pour son travail de peintre, et pas seulement, la font plonger dans un voyage en dialogue étroit avec des moments réels ou imaginaires, des histoires et des moments vécus par l’artiste ou racontés par des tiers. Pour cette exposition, Krtsch s’est inspirée du conte de fées allemand «Jorinde & Joringel» écrit par les frères Grimm: l’histoire de deux amoureux sous le charme d’une mauvaise sorcière, qui transforme des vierges en oiseaux pour les dévorer ; conte de fées très célèbre et exclusif à la littérature allemande. La transformation de Jorinde en rossignol et la quête de Joringel pour la libérer du sortilège sont un récit typique de la victoire du bien sur le mal … Cette histoire est le fond sur lequel Krtsch a développé ses petites et moyennes peintures qui servent de casse-tête, que l’observateur doit assembler afin de trouver le fil rouge qui le guidera à travers le conte de fées médiéval.
Show us the artists of the exhibition? Joana Gomes | Double Poetics, abstract works on canvas, in large and medium sizes, as well as works on paper, which take us on a journey, following an energetic exploration, curious and very personal artist. Commissioner Inês Valle, conservative says about these new works that « the artist focuses on the paradigm of painting to explore the conceptual values, formal and material. She wants the viewer to explore and absorb the strength of the work through its multilingual iconographic elements. A desire that goes beyond communication, with a deeper approach that encourages a quest to see, find meaning and assimilate the object to art. Jorinde + Joringel | Daniela Krtsch is a multidisciplinary German artist who lives and works in Lisbon. Although best known for his figurative paintings in oil on canvas, his open and curious mind has always led her to explore new territories by working in music videos for bands (Micro Audio Waves) as while being present in film projects (for example, the movie « Patrick », 2019, by Gonçalo Waddington). Thus, all her inspirations for her work as a painter, and not only, make her dive into a journey in close dialogue with real or imaginary moments, stories and moments lived by the artist or told by third parties. For this exhibition, Krtsch was inspired by the German fairy tale « Jorinde & Joringel » written by the Brothers Grimm: the story of two lovers, under the spell of a bad witch, who transforms virgins into birds to devour them , very famous fairy tale and exclusive to German literature. Jorinde’s transformation into a nightingale and Joringel’s quest to free her from the spell is a typical story of the victory of good over evil … This story is the background on which Krtsch developed his small and medium-sized paintings that serve as breakers head, that the observer must assemble in order to find the red thread that will guide him through the medieval fairy tale.
Pourquoi l’espace participe au Lisbon Art Weekend? C’est une volonté de faire partie d’un événement important impliquant plusieurs espaces artistiques et culturels de Lisbonne. C’est la première année du centre culturel, nous cherchons donc toujours des possibilités de créer des synergies et ainsi faire connaissance avec de nouveaux publics.
Why the space participates in the Lisbon Art Weekend? It is a desire to be part of an important event involving several artistic and cultural spaces of Lisbon. This is the first year of the cultural center, so we are always looking for opportunities to create synergies and get to know new audiences.
Présentez-nous les expositions que ce bel espace reçoit ? New Visions | IMAGO Lisboa Photofestival, photographies contemporaines, douze artistes internationaux, sélectionnés par quatre conservateurs, présentent leur vision de notre monde contemporain. Ils abordent des sujets d’actualité tels que l’écologie, l’immigration, les réfugiés crise, genre… Jon Cazenave, Malú Cabellos, Shen Chao-Liang, Jonathan Llens, Katrien de Blauwer, Virginie Rebetez, Laurance Rasti; Melanie Walker; Nydia Blas; Demetris Koilalous; Filippo Zambon et Liza Ambrossio.
New Visions | IMAGO Lisboa Photofestival, contemporary photographs, twelve international artists, selected by four curators, present their vision of our contemporary world. They address current topics such as ecology, immigration, refugee crisis, gender … Jon Cazenave, Malú Cabellos, Shen Chao-Liang, Jonathan Llens, Katrien of Blauwer, Virginie Rebetez, Laurance Rasti; Melanie Walker; Nydia Blas; Demetris Koilalous; Filippo Zambon and Liza Ambrossio.
Ensaios Domésticos| MOB Projects Un des 12 projets associés de la Trienale de Arquitectura de Lisboa 2019. MOB Projects vise à établir des croisements interdisciplinaires autour des conditions collective, domestique et rationnelle d’une pratique intrinsèque des architectes et des artistes, telle que la conception de meubles. Dans le but de faire de l’architecture et de l’art, un langage commun et compréhensible, où l’échelle du mobilier apparaît comme un terrain de recherche, de critique et d’expérimentation pour de nouvelles pratiques qui, par une échelle de proximité tactile, génèrent une série de questions autour de l’espace et de la relation aux objets avec le monde en général et l’utilisateur domestique. Grâce à la rationalité, nous pouvons parvenir à une interprétation contemporaine du monde et construire une théorie de la société, ce projet étant un outil permettant d’atteindre de manière interne ces objectifs, en explorant l’échelle la plus proche possible entre ses créateurs et ses habitants.
Ensaios Domésticos | MOB Projects : A dozen associated projects of the Lisbon Architecture Triennale 2019. MOB Projects aims at establishing interdisciplinary croises in terms of collective conditions, domestication and rationneling of an intrinsic practice of architects and artists, including the conception of meubles. In addition to the faire of the architecture and the art, a communal and comprehensible language, the furniture and the apparition as a ground for criticism and experimentation for other practices which, for a couple of years, tactile proximity, general a series of questions about the space and the relationship with the objects with the general and the domestic user. With rationality, we can arrive at a contemporary interpretation of the world and construct a theory of society, this project being a tool to achieve internally these objectives, by exploring the closest possible scale between its creators and its inhabitants.
MERCI – THANK YOU – OBRIGADO
Architecture, Lisbonne, social, art contemporain, Benjamin Gonthier Galeria Foco
En vacances à Lisbonne, Benjamin tombe sous le charme « social » de la capitale portugaise. En fin d’études d’architecture à Paris, il choisit comme dernier sujet « La problématique de la ville de Lisbonne (2013), j’aime l’échelle qu’offre Lisbonne ». Au fil des rencontres, des projets, du lieu, la galerie d’art contemporain devient un choix avéré dès la seconde exposition (02.17). Architecte de père en fils depuis trois générations, Benjamin prend racine à Lisbonne, mais comme son père il ne sera pas architecte. Lisbon Art Weekend nous invite à découvrir sa 30ème exposition : « Aujourd’hui, nos expositions se renouvellent toutes les 4 à 6 semaines, associées à des projets de longue date qui aboutissent. Je serai d’ailleurs en Inde lors de LAW pour un projet d’architecture social en friche urbaine, pensé à et pour Lisbonne. »
On holiday in Lisbon, Benjamin falls under the « social » charm of the Portuguese capital. At the end of architecture studies in Paris, he chose as the last subject « The problem of the city of Lisbon (2013), I like the scale offered by Lisbon ». Over the course of the meetings, the projects and the venue, the contemporary art gallery is a proven choice from the second exhibition (02.17). Architect from father to son for three generations, Benjamin takes root in Lisbon, but as his father he will not be an architect. Lisbon Art Weekend invites us to discover its 30th exhibition: « Today, our exhibitions are renewed every 4 to 6 weeks, associated with long-standing projects that end, I will be in India at LAW for a project of social architecture in urban wasteland, thought of and for Lisbon. « .
Pourquoi participer au Lisbon Art Weekend ? Notre projet a été accepté. Je trouve que c’est une belle opportunité de participer au lancement d’un premier circuit sélectif entre galeries d’art contemporain et autres lieux artistiques de Lisbonne. L’artiste Carolina Pimenta (art visuel), la commissaire Adelaïde Ginga (MNAC), le galériste Carlos Duran, et Deborah Harris (ex directeur adjoint The Armory Show, New York) dernièrement installée à Lisbonne, composaient le jury.
Why participate in the Lisbon Art Weekend? Our project has been accepted. I think it’s a great opportunity to participate in the launch of a first selective circuit between contemporary art galleries and other artistic places in Lisbon. Artist Carolina Pimenta (visual art), commissioner Adelaïde Ginga (MNAC), gallery owner Carlos Duran, and Deborah Harris (former deputy director The Armory Show, New York) recently settled in Lisbon, composed the jury.
Parlez-nous de « With these lines I operate » d’Evy Jokhova? J’ai eu la chance de rencontrer Evy Joklova à l’occasion de sa résidence artistique lisboète. Elle est venue à la galerie, notre dialogue avec la curator Aude Vignac (master à Catolica) a fait naître cette exposition pour la galerie, entre jeux de lignes et de poésie. Nous apprécions ses 1000 facettes multiculturelles.
Tell us about « With these lines I operate » by Evy Jokhova? I had the chance to meet Evy Joklova during his Lisbon art residency. She came to the gallery, our dialogue with the curator Aude Vignac (master at Catolica) gave birth to this exhibition for the gallery, between lines and poetry games. We appreciate its multicultural 1000 facets.
Performance de Patricia Keleher Vendredi 15 novembre à 18h, il y aura aussi une conversation et une performance avec la danseuse Patricia Keleher, rencontrée à l’occasion de « In Limen », interprété dans les fouilles du Teatro Romano.
Patricia Keleher’s performance Friday, November 15 at 18h, there will also be a conversation and a performance with the dancer Patricia Keleher, met on the occasion of « In Limen », interpreted in the excavations of the Teatro Romano.
MERCI – THANK YOU – OBRIGADO
Téléchargez gratuitement l’application, texte F, EN et P
Merci à chacun d’entre vous pour votre gentillesse et ainsi, me permettre un peu plus chaque jour de découvrir l’art comtemporain à Lisbonne. Vous êtes fantastiques, sans parler de vos expositions de plus en plus diversifiées et nombreuses. Lisbon Art Weekend, une nouvelle occasion de respirer, vivre Lisbonne, venez vous y détendre… Aidez-vous de l’application, elle « élimine » les 7 collines, donne des avantages, propose un agenda et les inaugurations de la semaine…
Thank you to each and every one of you for your kindness and so, allow me a little more each day to discover the art comtemporain in Lisbon. You are fantastic, not to mention your increasingly diverse and numerous exhibitions. Lisbon Art Weekend, a new opportunity to breathe, live Lisbon, come and relax … Help the application, it « eliminates » the 7 hills, gives benefits, offers a calendar and inaugurations of the week…